Témoignage pathétique d’une génération sacrifiée
Plusieurs de nos amis ont déjà réagi à ce témoignage pathétique qu’une jeune femme a publié sur son blog (marietheresebouchard.blogspot.com), et que se trouve également sur le site Nations Presse Infos. Nous vous invitons à le découvrir vous-mêmes en cliquant sur ces liens. Il recoupe le vécu de nombreux jeunes de cette génération, qui ont le sentiment de n’être déjà plus chez eux en France, et qui sont obligés, dans leur lycée, à l’université, dans leur travail, et même parfois entre amis, de cacher leurs sentiments. Ce n’est pas un phénomène isolé, et ce témoignage démontre à quel point l’idéologie dominante a réussi à imposer une chape de plomb sur toute expression d’une pensée non conformiste.
Pour ceux qui en douteraient, voici un autre exemple : en 2002, pendant la « quinzaine de la haine », un véritable climat de terreur régnait dans les établissements scolaires. De tous les lycées de Blois, les élèves partaient par classe entière, avec les encouragements de leurs professeurs, pour manifester dans les rues de la ville. Pas question d’y échapper : les élèves qui n’étaient pas d’accord – sans pour autant soutenir Jean-Marie le Pen – n’avaient d’autre choix que de suivre le départ du cortège, sous peine d’être désignés à la vindicte des meneurs. Certains profitaient ensuite de la confusion dans le cortège pour quitter la manifestation, j’en ai été le témoin personnellement puisque des jeunes qui avaient réussi ainsi à s’extraire de la manifestation étaient venus retrouver leurs parents dans l’entreprise ou je travaille, et qui se trouve à proximité des lycées. Toujours pendant la même période, une amie institutrice et électrice du FN, mais qui ne l’avait jamais avoué publiquement dans son école, préférait se taire pendant que ses collègues éructaient contre Jean-Marie Le Pen. Mais ce silence a été interprété comme un refus de condamner explicitement le Front National, pour lequel elle a été soupçonnée de sympathie, ce qu’elle a dû nier, comme Saint Pierre avait dû renier le Christ.
Voilà l’exacte réalité sur cette véritable dictature qui nous est imposée, et que les médias font semblant d’ignorer. Mais face à toutes ces techniques de désinformation, de conditionnement et d’intimidation, il est toujours de possible de lutter. Pour cela, il ne faut pas rester seul : j’invite tous les jeunes qui subissent quotidiennement cette humiliation à rejoindre le seul mouvement capable de les défendre : le Front National. Comme Marie-Thérèse Bouchard, osez prendre la parole publiquement.
Mais surtout, il ne faut pas se tromper d’adversaire. Les véritables responsables de cette situation ne sont ni les immigrés, ni les gauchistes : les uns comme les autres ne sont que les instruments utilisés par le pouvoir pour combattre l’idendité française dans leur dessein de mettre en place un gouvernement mondial soumettant toutes les nations. C’est d’abord cela qu’il faut dénoncer !
Michel Chassier
« tous ses jeunes qui ont des problèmes de se genre ou autres , peuvent se faire connaitre auprès de certains responsable pour rejoindre notre famille »
j’invite effectivement les plus jeunes à contacter le FN de leur région pour s’unir et faire face aux « hauts potentiels » et autres « chances pour la France »
Face à eux, tu n’es plus seul!
tous ses jeunes ayant des pressions de se genre et des problèmes de exprimées envers autrui ;de ses collaborateurs ,professeur dont l’abus et intolérable de conditionnée sous pressions des élèves n’ayant pas les mêmes idées qu’eux dans un pays en démocratie ,mais alors ou allons nous ,rassurez vous que si cela se provoque avec mon petit fils ,l’affaire seras vite résolu , une affaire semblable avec ma fille a cosne sur loire ,en 10minutes l’affaire etait résolu , mais les parents que font ils ? .
tous ses jeunes qui ont des problèmes de se genre ou autres , peuvent se faire connaitre auprès de certains responsable pour rejoindre notre famille
secteur :creuse* indre *loir et cher * cher* nievre pour des soirée amicales de notre petite famille oublier tous ses rapaces conditionnée
et bernée par leurs ambitions de pauvre arriviste peur de perdre leurs gamelles a la noix de beurre communiste .
marie therese :j’ai resenti cela en arrivant en france en 62 et subis les meme souffrance par les coco .alors chez nous la mère patrie c’était la france.