National, Région Centre-Val de Loire Précédent Suivant

Journal de la Résistance française – Noël 2009

La résistance passe par internet, mais il ne faut pas oublier le collage et le tractage (notre ami Grégory à l’action)

Ce samedi, il fait froid dans ma petite ville de province. Tous ont d’ores et déjà oublié le sommet bidon de Copenhague sur le réchauffement climatique, balayé par des températures inférieures aux normales saisonnières. Pendant ce temps, des SDF, de jeunes Français, meurent de froid bien loin des préoccupations médiatiques.

Nous préparons, comme de nombreux Français, les fêtes de Noël. Le sapin est décoré, la douce impatience des enfants me fait sourire, nous avons fêté la nuit la plus longue ce 21 Décembre, nous irons à la messe cette année. Je n’y suis pas allé depuis des années. Je veux que mes enfants connaissent leur civilisation. Ce qui fait que nous sommes tels que nous sommes aujourd’hui. Les passants s’affairent à préparer les derniers cadeaux. Il flotte une ambiance de tranquille activité dans la rue.

Et puis des tambourins tapageurs résonnent, ponctués de cris. Les passants, irrités par ce tapage désordonné et braillard tournent la tête. En avant du cortège, une adolescente africaine se trémousse et distribue des tracts. Derrière, une dizaine d’hommes, uniquement, en djellabas, tambourinent et vocifèrent, perturbant la tranquillité des passants qui froncent les sourcils. Je lis le tract　: l’islam, le salafisme, la conversion.

Mon fils de trois ans me demande, inquiet, ce que c’est. « Pourquoi les « monsieurs » crient　? » Je regarde autour de moi, la plupart baisse la tête, certains s’arrêtent, le visage grave, ils sont rares ceux que le spectacle réjouit. Le cortège bruyant fera ainsi plusieurs fois le tour du centre ville, encadré par des nervis à capuches.

C’est la période de Noël 2009, en France, où le prosélytisme religieux agressif, communautaire, vindicatif s’installe sur la voie publique, pour choquer, faire du battage, déranger le doux affairement en cette période de fêtes familiales.

Et je me pose une question　: combien de temps encore les Français vont-ils baisser la tête face à ce déferlement de vulgarité, cette volonté clairement affichée d’imposer des lois et des valeurs qui ne sont pas les nôtres　?

Alors que ces pensées de révolte traversent mon esprit, je pense à samedi, durant lequel j’irai, comme des dizaines d’autres militants, mettre des tracts dans les boîtes aux lettres, discuter avec mes voisins, coller des affiches.

Je sais qu’il suffit d’une poignée d’hommes et de femmes de bonne volonté pour que les choses changent.

Nous sommes à la veille de noël 2009 en France, le Président s’appelle Nicolas Sarkozy.

Entrez en Résistance. Votez Front National.