Journal de la résistance française : communautarisme et implosion du tissu social français
Ni pro-palestiniens, ni pro-israéliens : Français !
Les libres propos de Grégory
L’affaire se déroule dans des eaux qui ne bordent pas nos côtes. Des militants pro-palestiniens tentent de rentrer dans Gaza. L’armée israélienne intervient et abat plusieurs d’entre eux. Les chiffres varient mais les morts sont là. Des manifestations de soutien aux palestiniens s’organisent à Strasbourg, à Paris et chaque fois c’est le même scénario :
des centaines de maghrébins défilent, drapeaux palestiniens en exergue, puis des drapeaux israéliens apparaissent et c’est l’affrontement. Les forces de l’ordre utilisent les gaz, s’interposent entre les deux camps qui veulent en découdre.
Vous ne rêvez pas, vous n’êtes pas en Israël ou en Cisjordanie, ou dans la bande de Gaza. Vous êtes en France, et comme tous les passants éberlués, vous constatez qu’un conflit qui se situe à plusieurs milliers de kilomètres donne lieu à des actes de violence, à des saccages gratuits, à des revendications communautaires, qui, il faut le dire, non seulement empuantissent l’atmosphère générale, mais rappellent aussi les heures les plus sombres de la guerre civile.
Nous assistons depuis plus de vingt ans à la hausse continue des actes de violence entre communauté arabo maghrébine et juive en France. Appelons un chat un chat, la recrudescence des actes de violence antisémite en 2002, sous estimée par Lionel JOSPIN, était le fait de populations musulmanes qui s’identifiaient aux palestiniens.
Les origines de ces affrontements sont évidemment liées à une immigration incontrôlée par l’Etat, voulue par le patronat, soutenue par les associations de gauche. Cette immigration non assimilée brandit des drapeaux étrangers sur notre territoire national, revendique des autorisations religieuses spécifiques et rompt tout lien avec le destin commun.
La double nationalité, fermement condamnée, et avec raison, par Farid SMAHI, révèle aujourd’hui son véritable visage dans les affrontements auxquels nous assistons : l’importation de la guerre civile.
Et les Français dans tout cela ? Dans leur grande majorité, ils ne savent pas quoi penser. Ils ne sont ni pour les uns ni contre les autres. Ils sont avant tout Français et notent que leur pays est maintenant le théâtre d’affrontements qui lui sont, à l’origine, étrangers. A l’effondrement de l’économie, des revenus, à l’injustice sociale et à la corruption des élites s’ajoutent aujourd’hui des affrontements communautaro-religieux u Moyen Orient.
Il paraît que nous aurions un Président de la République, qu’il s’appellerait Nicolas SARKOZY. Aujourd’hui, nous savons pourquoi il fait l’unanimité contre lui. « La France d’après », celle qu’il nous laisse, est celle du chaos et de la violence.
Entrons en Résistance, votons FRONT NATIONAL.