Délinquance, Immigration, Région Centre-Val de Loire Précédent Suivant

Joué-les-Tours : l’incendie criminel du Centre social de la Rabière

La Nouvelle République du 14/11 revient sur l’incendie criminel du Centre social de la Rabière à Tours, dans un long artcile qui exprime le désarroi des autorités et des « travailleurs sociaux », qui refusent toujours de voir le réalité.
Comme chaque fois, on esaie de nous faire croire que la violence est entretenue par  »une minorité de provocateurs ». Ce qui paraît tout de même surprenant, car si tel était le cas, il devrait être facile de les identifier et de les mettre hors d’état de nuire !
La Nouvelle République souligne d’ailleurs, que le Centre comptait « une soixantaine de travailleurs sociaux » qui avaient pour  »mission de former, divertir et insérer une population fragile, mise à mal par la crise, les difficultés quotidiennes, l’isolement, la précarité et le chômage. »
On connaît ce genre de discours. Mais comment expliquer que 60 animateurs ne parviennent pas à ramener à la raison « une minorité de provocateurs ? » 
Et dans le cas présent, il ne s’agit pas d’un acte anodin, mais d’une action préméditée et menée méthodiquement : on ne compte pas moins de sept départs de feu, qui « ont signé l’agonie d’un bâtiment encore debout mais cruellement mutilé dans ses murs et ébranlé dans le symbole qu’il représente. »
Les salariés ont dès lundi fait valoir leur droit de retrait, avouant par là leur échec, et surtout l’échec d’une politique coûteuse que le Front national n’a de cesse de dénoncer.
Le maire de Joué les Tours continue à se cacher derrière son petit doigt «Évitons toute interprétation», et il continue de s’interriger sur la montée d’incivilités «plus graves qu’il y a dix ans» avec la multiplication des incendies de voitures, poubelles, feux de caves.
Mais tout le monde sait qu’il sera difficile, cette fois encore, d’arrêter les coupables : « Il règne une sorte d’omerta à la Rabière qui ne facilite pas la tâche des enquêteurs« .
La cause unique de cette aggravation de la délinquance est pourtant facile à identifier : c’est le refus grandissant d’intégration de certaines communautés étrangères, dont la minorité agissante – mais largement soutenue – joue clairement la provocation pour obtenir toujours davantage de capitulations des autorités française.
Tout le reste n’est que littérature.

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