Rerconduites à la frontière : les mensonges de Sarkozy-Hortefeux révélés au grand jour !
Régulièrement, nous vous tenons informés des annulations de reconduites à la frontière prononcées par les tribunaux administratifs pour le Loir et Cher. Au niveau national, cela se traduit par des centaines, voire des milliers d’annulations : depuis le 24 décembre dernier, un vide dans le droit français permet à des centaines d’étrangers en situation irrégulière d’éviter la reconduite à la frontière. Cause de ce vide juridique : la non-transposition en droit national de la directive européenne surnommée « retour » !
Mais qu’importe pour le tandem Sarkozy-Hortefeux : la seule chose qui compte pour eux, ce sont les chiffres annoncés. Tant pis si les reconduites à la frontière ne sont pas exécutées.
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Réveille-toi, Peuple de France,
De Bretagne, du Nord, de Paris, de Provence,
De Corse, des Antilles, d’Alsace, de Savoie,
D’Auvergne, de Gascogne, de Lorraine, d’Artois !
Debout ! Fils de Danton, Mirabeau, Robespierre,
Ô héros glorieux, sortez des cimetières,
La France est avachie, la France est aux abois
Livrée aux appétits de gougnafiers sans loi.
Les fils des Sans-culottes sont devenus des Veaux
Abrutis de télés laveuses de cerveaux,
Panurgiens, combinards, têtus comme des mules,
Ils lèchent les panards de ceux qui les enculent.
Ils ont mis à leur tête un vil aventurier,
Vulgaire démago, cynique et ordurier.
Aussitôt installé, ce « sarko vulgaris »
Vida toutes les caisses, foin de toute avarice,
Au profit des vautours, des hyènes, des chacals
Qui avaient financé sa campagne immorale.
Grouillant comme morpions autour d’un trou du cul,
Ces escrocs patentés font le peuple cocu.
Ils s’engraissent la tripe de grasses subventions
Puis ils délocalisent en gardant le pognon,
Mettant dans la misère des régions entières,
Et crachent à la gueule de la gent ouvrière.
Mais ça ne suffit pas ! Le Hun est un dévot
Qui prétend rétablir le pouvoir des corbeaux,
Gourous, curés, imams, rabbins ou chefs de sectes
Tous ces obscurantistes dont les idées infectes
Ramènent au galop burkas et goupillons
Pour écraser le Peuple de leur chape de plomb.
Tremble donc Sarkozy, toi le copain de Bouygues,
D’Arnaud, de Lagardère, et de tant d’autres zigues
Bâtissant des fortunes par la spéculation
Sur le dos des prolos par la confiscation
Du fruit de leur savoir, leur sueur, leur travail
Et puis les rejetant tout comme vil bétail.
Avec tes airs confits de sacristain en messe
Tu t’appuies sur la crise, oubliant tes promesses
De chercher la croissance, s’il faut, avec les dents.
Et le pouvoir d’achat, Monsieur le Président !
Vous nous aviez promis qu’une fois aux affaires
Par la foi, le travail, finirait la misère.
Et les terribles nuits, seul, dehors, lorsqu’il gèle ?
Les vieux qui pour bouffer fouillent dans les poubelles ?
Et les essedéhèfes ? Et les gens qu’on expulse ?
Y avez-vous pensé ? Est-ce que ça vous révulse ?
Non ! Vous voulez, en fait, profiter de la crise
Pour nous faire avaler, en loucedé, par surprise
De sordides « réformes » toujours réactionnaires,
Dures pour le prolo, douces pour l’actionnaire.
Vous voulez, dîtes-vous, remettre « plus d’Etat »,
Alors que vous lourdez ses agents par gros tas.
Votre triste bilan : régression, esclavage,
Faim et précarité, répression et chômage.
Vous remplissez les poches de vos amis patrons
Par la France d’en bas pressée comme un citron.
Halte ! Tristes bouffons à la grasse bedaine,
Partez avant que ne se transforme en haine,
La puissante colère qui dans le peuple monte,
Partez quand il est temps car la révolte gronde.