La création artistique a-t-elle des limites ?
Samedi dernier, 5000 personnes manifestaient à Paris, pacifiquement, contre le honteux spectacle proposé par le Théâtre de la ville, subventionné par nos deniers. De nombreux Loir-et-Cheriens avaient fait le déplacement pour faire savoir combien ils étaient choqués de voir une œuvre théâtrale souiller le visage de celui qu’ils vénèrent, le Christ dans une « création » de Romeo Bertolluci.
C’était la première fois que nous avions en France une manifestation d’une telle ampleur sur un sujet culturel national. La répression contre les manifestants est en marche mais le débat est ouvert et le mur du silence a été écarté.
À ceux qui pensent qu’un parti politique n’a pas à prendre position sur une question culturelle, nous dirons ceci très simplement :
1/ Dès lors que le contribuable met la main à la poche, il a droit au chapitre. Il peut et doit donner son avis. L’artiste n’est pas au-dessus des jugements surtout s’il est nourri par notre argent.
2/ «La liberté de création artistique n’a pas de limites», nous disent les professionnels de la culture. On peut tout se permettre…… contre la religion chrétienne. Mais nous constatons qu’il y a des religions ou des philosophies auxquelles les « artistes » ne touchent pas. Pourquoi ? Si la même pièce de théâtre avait traité de la même façon la religion musulmane ou la religion juive, il y aurait eu 100 000 personnes dans les rues et les élites culturelles et politiques de notre pays auraient été scandalisées. On le voit bien avec le « Charlie Hebdo » de cette semaine qui s’en prend, tout doucement, à Mahomet et à l’intégrisme tunisien. Nombreuses sont les réactions indignées des permanents de la culture. Deux poids, deux mesures ! Pourquoi ?
3/ Aujourd’hui, on profane l’image chrétienne qui est le fondement millénaire de la France. Une image qui était vénérée au carrefour des routes, au cœur de nos villages. Demain, ce sera la France et son drapeau qui seront profanés – quoique nous ayons déjà vécu cela au stade France il y a quelques années – si les tenants de la France laïque ne prennent pas cette agression antichrétienne pour une agression antifrançaise. Cette affaire ne concerne pas uniquement les catholiques mais tous les Français !
Miguel de Peyrecave
Professeur agrégé de l’Université (er)
Conseiller régional de Loir et Cher (1998-2010)
Voir également le communiqué de Alexandre Simonnot sur Nations Presse Infos
Nouvelles de la dictature molle
voir sur : http://club-acacia.over-blog.com/
la répression des catholiques face aux invertis du bulbe
cette pièce de théâtre est une véritable insulte pour tous les intellectuels. Je suis favorable à une critique des religions mais là franchement, l’auteur se complait dans ses propres excréments.
Il y a des critiques intelligentes, constructives mais là il s’agit simplement à minima d’une faute de goût ainsi que d’une faute intellectuelle.
j’aime les femmes, et surtout les blondes, intelligentes et souriantes : suis-je anormal docteur ?
» les lycéens de terminale littéraire étudieront désormais la famille « homosexuelle » comme modèle familial au même titre que la famille traditionnelle, monoparentale ou recomposée, et ce dans le cadre de la spécialité « Droit et grands enjeux du monde contemporain » (DGEMC).
C’est le Bulletin officiel spécial du ministère de l’Education nationale qui nous apprend cette nouveauté qui entrera en application à la rentrée scolaire 2012-2013.
Une disposition bien entendu saluée comme une victoire par toutes les associations homosexuelles, arguant même qu’elles veilleront « à ce que le thème de l’homoparentalité soit traité de manière correcte et approfondie dans les manuels de DGEMC à paraître pour la rentrée 2012« .
Une « étude approfondie » dont on ne précise pas si elle sera accompagnée de travaux pratiques et dont l’intérêt primordial ne manquera pas de sauter aux yeux de tous les parents d’élèves à l’ère de l’explosion de l’illettrisme et de l’inculture galopante.