Abattoirs Gourault : le halal m’a tué !
Les « contrôleurs », « sacrificateurs » et autres barbus ont fini par coûter cher aux abattoirs Gourault…
Malheureusement, nous le savons depuis déjà un certain temps. Le tribunal de commerce de Blois vient de prononcer la liquidation des abattoirs Gourault, une entreprise qui «avait pris le virage du halal en 2009» et qui avait donc orienté son développement sur celui du halal lié à la politique d’immigration massive. Le juge n’a accordé aucune période d’observation à cette filiale de la coopérative Groupement des Eleveurs de l’Ouest (GEO), comme si cette impasse économique était totale et peut-être trop visible après les mises en garde de Marine Le Pen pendant les présidentielles. Souvenez-vous comment à l’époque un certain Nicolas Sarkozy avait balayé d’un revers de la main ces avertissements….
Plusieurs repreneurs contactés ces derniers mois auraient été échaudés par le cumul des dettes. Selon des sources fiables, l’entreprise perdait près d’un million d’euros par an en exploitation. A noter que Gourault n’a pas publié ses deux derniers bilans.
Les 74 salariés permanents vont être licenciés dans les prochains jours. Une nouvelle catastrophe pour le département. Le mandataire judiciaire table sur une reprise de l’outil industriel, mais c’est bel et bien la fin de cet abattoir, le plus important de la région Centre.
Transmise en 2006 à la coopérative vendéenne, la société Gourault avait axé sa production sur la fourniture de viande halal. « L’entreprise a subi près de deux millions d’impayés à l’export, notamment au Maghreb« , témoigne un proche du dossier (source l’Usine nouvelle).
De plus, la filière halal et l’exportation génèrent des coûts supplémentaires : organismes de contrôle, personnel agréé, taxes douanières, transports. Et les marges sont très faibles parce qu’elles ciblent des consommateurs à faible pouvoir d’achat. Enfin avec la fermeture du marché turc qui a porté sa taxe douanière de 15 à 75% du prix de la carcasse, ce sont 80 tonnes d’expéditions hebdomadaires qui ont été perdues (source : la Nouvelle République du 15 mai).
On se demande ce que peut penser la sénatrice Jacqueline Gourault de cette situation dramatique pour ces 74 salariés, car c’est bien la politique en faveur de l’immigration et du halal suivie par son parti, le Modem, a entraîné la fin d’une belle entreprise créée, en 1958, sur une base proche des idées d’enracinement familial du FN en matière d’agriculture et d’écologie.
Nous ne pouvons que constater la justesse des analyses du FN.
Est-il encore temps de réagir ? Sans aucun doute, mais le temps presse.
Nous avons une opportunité de le dire les 10 et 17 juin prochain avec nos candidats du Loir et Cher. Car il est évident que ni l’UMP, ni le PS, n’ont l’intention de changer quoi que ce soit…
À lire dans saphirnews.com (organe de propagande pro-musulman) : « Le halal, la nouvelle machine à cash de la marque Gourault ». (Article paru en 2010). Sauf que le cash, Gourault s’est assis dessus. Joli coussin de 2 millions d’euros. La dépositaire du nom (j’ai nommé Jacqueline Gourault) d’une honorable famille blésoise s’était servi de cette notoriété comme d’un ascenseur pour ses ambitions politiques d’une démesure inversement proportionnelle à son talent. Elle devra, dorénavant, devoir se faire un peu plus discrète. Juste retour des choses…
gouro c’est gouré sur les gorets,
et c’est les employés qui payent,
les autres qui touchent à nos dépends, comme d’hab !