«Mariage» homosexuel. Parlons-en ! Une réponse juridique à l’argument d’égalité.
L’égalité est l’argument que l’on entend le plus souvent dans la bouche des partisans du pseudo « mariage » homosexuel. Il constitue même l’un de leurs principaux arguments, c’est pourquoi il est important d’y apporter quelques éléments de réponse.
Une réponse juridique.
L’argument consistant à dire que le mariage homosexuel est une question d’égalité est un vrai sophisme. Il y aurait inégalité si le « droit au mariage » était un droit du couple, puisqu’il y aurait des couples ayant le droit de se marier et d’autres non. Or, le couple n’a pas de personnalité juridique. Le droit au mariage est un droit qui s’applique aux individus et, de ce point de vue, les homosexuels ont les mêmes droits que les autres, à savoir, se marier avec « une personne majeure et consentante du sexe opposé » (code civil). Ouvrir le mariage homosexuel n’est donc pas l’extension d’un droit à des personnes qui en sont injustement privées mais la création d’un nouveau droit. On peut être pour ou contre, mais c’est un choix politique qui n’a rien à voir avec l’égalité.
La procréation, finalité du mariage
Par ailleurs, faut-il rappeler que pour toute société la fin première du mariage est la procréation, la protection et l’éducation des enfants. Les juristes nous disent que : « L’égalité, en droit, exige de traiter de la même manière les personnes qui sont dans des situations équivalentes. Or, au regard de la procréation et donc du mariage, les personnes de même sexe ne sont pas dans une situation équivalente à celle des personnes de sexe différent, puisque deux hommes ou deux femmes ne peuvent engendrer ensemble un enfant. » Voilà une réponse sans ambigüité.
L’amour, support exclusif du mariage ?
«Mais on n’a pas tous le droit de se marier avec la personne qu’on aime !», c’est ce que nous répètent les partisans de ce pseudo mariage qui veulent nous faire pleurer et nous mènent sur le terrain du sentimentalisme.
Nous leur répondons que l’amour n’a pas de définition juridique, puisque tous les amours n’ont pas la même valeur : certain(e)s sont légitimes ou acceptables, d’autres sont contre l’idée même du Bien individuel et commun. Logiquement, si l’on autorise quelque chose pour le seul motif d’amour, il faudra logiquement accepter la polygamie, la polyandrie, l’amour incestueux, la pédophilie. D’ailleurs cela a déjà commencé au Brésil où un mariage à 3 (1 homme et 2 femmes ) a été officialisé.
«Quand on dépasse les bornes il n’y a plus de limites» : le philosophe humoriste n’a pas tort mais le juriste a pour mission de mettre des limites pour le Bien commun et de l’égalité de traitement. Nous devons manifester notre opposition à ce faux mariage par tous les moyens légaux.
Jean Aymar
c’est le type même du bobo « socialiste »,
avec sa trotinette et sa barbe de trois jours,
et sa p’tite carte rose,
en fait une manche à air qui suit le vent du politikkement korrect, des idées brassées dans les merdias
On ne va pas aller bien loin avec ça !
Ils ne vont pas peser lourds lorsque les envahisseurs seront suffisamment nombreux pour imposer leurs pratiques moyenageuses au reste de la population
Et cela a déjà commencé, les petits politikement corrects baissent déjà les yeux et le pantalon.
excellent article de fond.
finalement, le mariage homosexuel n’est ni plus ni moins que l’application du libéralisme philosophique qui interdit tout interdit et déstructure tout lien en faisant mine d’en créer d’autres. Le résultat? des individus de nulle part, sans racines ni attaches aux contours identitaires flous car fonction de l’air du temps. Et bien sûr, un véritable fascisme d’êtres égoïstes qui veulent des enfants non pour le bien être des enfants, mais pour un plaisir égoïste.
Concernant le désir d’enfants de ces dégénérés, il ne s’agit ni plus ni moins que d’un désir de nounours à câliner ; comme si on adoptait un animal dont, plus tard quand il aura grandi et deviendra envahissant, on se débarrassera dans une pseudo SPA. Comment un couple gay (masculin) peut-il avoir la fibre maternelle ? Est-ce un moyen de se reproduire, de reproduire sa déviance ?
P