11 novembre à Blois : arrêtez de mentir aux enfants !
Respectez ceux qui sont morts pour la France, et arrêtez de mentir aux enfants !
D’année en année, le message délivré par les autorités lors des cérémonies patriotiques tourne au pacifisme bêlant.
Les adultes arrivent à supporter, et désireux de ne pas perturber l’hommage rendu à nos morts pour la Patrie, ils écoutent parfois incrédules ces allocutions dénuées de bon sens et ignorant la dure réalité du monde.
Ils n’en jugent pas moins ceux qui tiennent ces discours irresponsables pour ce qu’ils sont : de piètre politiciens dont la seule excuse est qu’ils n’ont peut-être pas reçu, pour les plus jeunes, la moindre éducation patriotique.
Au contraire ils ont subi comme toute une génération un enseignement de l’histoire depuis longtemps déformé, tronqué et visant tout simplement à effacer notre mémoire, abaisser la France, minimiser son oeuvre dans le temps et dans l’espace et pour finir culpabiliser sans cesse les Français pour anihiler en eux tout esprit de révolte ou de résistance face à la submersion migratoire.
Mais aux enfants, nous avons devoir de dire la vérité.
Au lieu de cela, les dépositaires de l’autorité ont choisi de leur mentir, et de les instrumentaliser afin qu’ils délivrent un « message aux adultes« . Alors qu’ils ne font que répéter ce qui leur a été soufflé par de mauvais maîtres.
« Stop la guerre » : c’est le titre repris dans un français approximatif par la Nouvelle République. L’expression serait tirée du texte lu par les élèves de l’école Marcel Bühler. Le premier devoir des enseignants devraient être déjà d’apprendre correctement le Français.
Mais la suite du texte est encore plus indigent : «Faire la paix plutôt que la guerre, c’est mieux. Être tous amis, se comprendre, partager au lieu de se battre pour des intérêts auxquels ces enfants ne comprennent rien.»
En résumé comme disait Jean Yanne « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil« . Sauf qu’il était alors dans le registre de la dérision, alors qu’aujourd’hui cette idée est reprise au premier degré.
Que faut-il répondre a de telles banalités ?
D’abord peut-être rappeler cet adage antique : « si vis pacem, para bellum« .
Bien sûr, tout le monde souhaite la paix, et ceux qui ont combattu et souffert encore plus que les autres.
Mais alors fallait-il se battre en 1914, fallait-il se battre en 1940 ?
Et demain, faudra-t-il renoncer à se battre si la France est menacée dans son existence même ?
Ce message ne répond pas à la question.
Mais rappelons-nous des mots de Winston Churchill : « Nothing is worth than war ? Dishonor is worth than war, slavery is woth than war » (*).
Il est évident que la France ne pourra continuer d’exister que si elle capable de se défendre, tout simplement.
Mais est-ce le souhait de nos gouvernants, qu’ils s’appellent Sarközy ou Hollande ?
De traités en traités, il abdiquent des pans entiers de notre souveraineté, quant au budget de l’armée, il est devenu une variable d’ajustement des déficits publics.
Et qu’on ne vienne pas nous dire non plus, comme nous l’entendons trop souvent lors de ces cérémonies que c’est grâce à l’Europe que nous vivons en paix depuis 1945.
Si les affrontements directs entre grandes puissances ont cessé c’est, comme chacun le sait, du fait du fameux « équilibre de la terreur » : autrement dit la crainte du feu nucléaire.
Cela n’a pas empêché toutefois les conflits de par le monde depuis la fin de la IIème guerre mondiale, et ces apôtres de la paix sont toujours prêts – pour la bonne cause, cela va de soi – à en déclencher de nouveaux, contre la Syrie, contre l’Iran par exemple.
Alors de grâce arrêtez de mentir aux enfants et de trahir la mémoire de tous ceux qui sont morts pour la France !
Michel Chassier
Conseiller régional de Loir et Cher
Secrétaire départemental du Front National
(*) « Rien n’est pire que la guerre ? Le déshonneur est pire que la guerre, l’esclavage est pire que la guerre »
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Bachar al-Assad, président de la République arabe syrienne
« L’invasion étrangère de la Syrie, si elle a lieu, serait tellement grave que le monde entier ne pourrait pas le supporter. Car s’il y a des problèmes en Syrie, alors que nous sommes le dernier fief de la laïcité, de la stabilité et de la convivialité, cela aura un effet domino, qui affectera le monde de l’Océan atlantique au Pacifique. L’Occident n’ira pas dans cette direction. Mais s’ils le fait, personne ne peut en prédire les conséquences. Je ne suis pas une marionnette et je n’ai pas été fabriqué par l’Occident pour que j’aille en Occident ou ailleurs. Je suis Syrien. Je vivrais et je mourrais en Syrie. Le Premier ministre turc se comporte comme un sultan de l’empire ottoman et se prend pour un calife. Avec le problème syrien, Erdogan est passé de zéro problème à zéro ami. Le départ ou non du président syrien peut se décider seulement à travers les urnes. La Syrie n’est pas en guerre civile. Il s’agit de terrorisme et d’un soutien apporté par l’étranger aux terroristes pour déstabiliser la Syrie. C’est notre guerre. Il faut donc s’attendre à une guerre difficile. On ne peut pas s’attendre à ce qu’un petit pays comme la Syrie puisse vaincre en l’espace de quelques jours ou semaines tous ces pays qui se battent contre nous par procuration, comme les États-Unis, l’Occident et des pays arabes. Si le soutien des rebelles depuis l’étranger cessait, je peux dire que nous pourrions tout finir au bout de quelques semaines. Mais tant qu’il y aura un approvisionnement ininterrompu des terroristes en armements, en logistique et tout le reste, ce sera une guerre à long terme. »
C’est bien dit Michel.
Quand a moi je doute fort des sentiments patriotique d’un certain nombre d’élus.
Responsable d’associations, Médaillés Militaires, UNCAFN, Chasseurs a pieds et Alpins, Sous Officiers de Réserve, j’assistai a toutes les cérémonies officielles et j’ai toujours constater que n’assistait a ces cérémonies, que les élus en place.
Avant on ne les voyait pas, après on ne les voyait plus.
ASSEZ DE CINEMA MESSIEURS!