UMPS : la preuve par la Banque Rotschild
Le CAC 40 et la gauche font bon ménage. Cela vous étonne ? Explications.
Certains électeurs ont reproché à Marine Le Pen de ne pas avoir donné de consignes de vote au 2ème tour de la présidentielle.
A vrai dire, cela permettait à chacun de choisir… ou de ne pas choisir, en fonction de sa propre analyse de la situation.
Et puis il faut avouer qu’il était difficile de voler au secours de Nicolas Sarközy, qui n’avait eu de cesse, au cours de son mandat de vouloir « tuer » le Front National.
Moyennant quoi, pensant y être parvenu en 2007, il avait pu ouvrir la porte à des ministres et conseillers venus du Parti socialiste ou « issus de la diversité« .
Constatant le retour en force du Front National, il a essayé de durcir son discours à partir de l’été 2010 (discours de Grenoble) mais déjà il n’était plus crédible.
Confronté à la montée de Marine Le Pen dans les sondages après son élection à la présidence du FN début 2011, il va encore durcir son discours sur l’immigration et la sécurité en toute fin de campagne, suivant en cela les conseils de Patrick Buisson.
Ce qui lui a permis tout de même de figurer au 2ème tour.
Il cependant été battu par un François Hollande pourtant bien terne et peu convaincant, décrit comme irrésolu, mal préparé à sa fonction, ce qui aurait dû, en période de crise, susciter l’inquiétude des électeurs.
Ce serait oublier ce qu’est devenu le pouvoir politique en France – et ailleurs dans le monde – au fil du temps.
A coup de réformes des modes de scrutin, tout a été mis en oeuvre pour que notre système électoral se rapproche progressivement du bipartisme, modèle politique anglo-saxon inséparable du libéralisme.
En effet dans un tel système, où le débat des idées est traduit en terme d’offre et de demande, les deux composantes, au-delà d’une opposition soigneusement mise en scène, se rejoignent sur des positions en réalité très proches les unes des autres.
Ainsi le travailliste Blair en Grande Bretagne ou les socialistes Schröder en Allemagne comme Zapatero en Espagne ont-ils mis en oeuvre des réformes ultra-libérales que jamais Nicolas Sarközy, pourtant considéré comme très à droite, n’aurait osé proposer.
Ce qui signifie qu’au delà des mots, des discours électoraux et des promesses de campagne, le changement n’est pas pour maintenant, ce n’était qu’un slogan au même titre que la « fracture sociale » de Chirac, qui n’a fait que s’aggraver.
La meilleure preuve consiste à regarder qui sont les proches conseillers de François Hollande.
Et sans surprise, on retrouve parmi les plus proches un certain Emmanuel Macron, banquier d’affaire associé chez Rotschild... tout comme avant lui François Pérol, ancien secrétaire général adjoint de l’Elysée sous Sarközy, avant d’être appelé à d’autres fonctions (source : Faits et Documents n° 346 du 15 au 30 novembre 2012).
Certains observateurs considèrent même Emmanuel Macron comme le conseiller le plus influent du « président normal« .
En tant que Conseiller économique du candidat Hollande, c’est lui qui avait été délégué à Londres auprès des milieux d’affaires : « il est venu expliquer à un groupe de banquiers de la City qu’ils ne devaient pas s’inquiéter [NDLR : en cas de victoire de François Hollande] Il nous a cyniquement promis qu’il aurait suffisamment de niches pour que la mesure soit indolore.«
Même démarche auprès des grands patrons français : « Emmanuel Macron est notre porte d’entrée auprès du président » s’enthousiasme Stéphane Richard, PDG de France Télécom. « Je l’ai vu à l’oeuvre chez Rotschild, il va rassurer tout le monde« , renchérit un autre ponte du CAC 40 (Challenges, 30/09/2012).
Et l’évolution du CAC 40 illustre bien ce propos, puisque loin de s’effondrer comme le prédisaient certains, l’indice à progressé de 3,27% dès la 1ère séance suivant l’élection, le 7 mai dernier.
Jusqu’à gagner près de 15% au plus haut à mi-septembre.
Les banques et les grands patrons du CAC 40 n’ont donc aucune raison de s’inquiéter, ils peuvent dire « merci » à l’UMPS !
Il n’en est pas de même pour les Français, qui vont voir leur pouvoir d’achat diminuer de plus en plus, mais là encore nous sommes dans la continuité, et pour les petits entrepreneurs, les artisans, les commerçants, qui sont frappés dès maintenant par la hausse, parfois exorbitante des taxes et des impôts locaux.
On le constate actuellement avec la fameuse « TFE », taxe foncière sur les entreprises, dernier recours des collectivités locales qui n’ont plus la main sur la Taxe professionnelle, non pas supprimée mais transformée par Nicolas Sarközy, et remplacée par une série de nouvelles taxes avec des effets parfois catastrophiques.
Les Français sont donc en train de se rendre compte que le changement n’est pas pour maintenant, et ce n’est pas la situation à l’UMP qui pourra redonner à ce parti un statut d’opposant crédible avant longtemps.
Vous l’avez compris, le seul recours, le seul moyen de mettre un terme au déclin de notre pays, c’est bien Marine Le Pen et le Front National.
Aidez-nous à diffuser le message et à faire entendre chaque jour davantage « une autre voix » !
Le PS n’a pas encore légalisé le mariage entre deux personnes de même sexe
que l’UMP prononce déjà le divorce entre deux de ses hommes
sont forts quand même tous ces politiciens UMPS
Très bonne analyse de la situation. Pour ceux qui se posent encore des questions sur la différence entre la Gauche et la Droite, la réponse est claire: il n’y en a pas. La seule fracture s’établit entre Nation et Mondialisme, entre défense des intérêts de notre peuple et libéralisme apatride et destructeur de nos valeurs et de notre civilisation. Ainsi la Droite et la Gauche restent nos adversaires politiques, car ensemble ils ne défendront jamais l’intérêt du Peuple français, des classes populaires et classes moyennes. L’UMPS n’a d’autre intérêt qu’à servir les grandes multinationales, la finance mondialisée, l’Europe bureaucratique et ultra-libérale et tant pis si les peuples souffrent.
C’est pourquoi, la seule politique crédible, moderne et ambitieuse est incarnée par le Front National et sa présidente Marine Le Pen, dans la défense absolue et intransigeante de nos valeurs, de notre histoire, de notre civilisation, de notre système social, bref la France et les français d’abord. Pour s’en sortir, une seule voie possible, la voix de la France.