5 décembre : honneur aux soldats, bravo à l’UNC-UNCAFN
50 ans après, les combattants n’ont pas oublié.
Sous un vent violent qui annonçait la neige, plus de trente drapeaux d’anciens combattants (dont celui du CNC, tenu par Emile Berlu ) étaient présents pour cette belle cérémonie du 5 décembre au monument aux morts de Blois. Une foule nombreuse se pressait autour des vétérans de cette guerre que la gauche veut commémorer le 19 mars et non le 5 décembre.
Le président de l’Union Nationale des Combattants (UNC), Claude Roullier, a clairement et vigoureusement rappelé que la France a réalisé en Algérie une magnifique pacification avec une œuvre scolaire, sanitaire et culturelle exceptionnelle dans un pays qui n’existait pas avant notre arrivée. Il a insisté sur le refus des Anciens Combattants de la perpétuelle repentance que la gauche mondialiste exige de nos compatriotes qui ont fait leur devoir. Le FLN tuait des familles entières quand la France protégeait nos supplétifs et nos Harkis.
Enfants massacrés par le FLN. « Oublier les cas individuels » ? Jamais.
Le Préfet, arrivé en retard mais engoncé dans sa langue de bois, a parlé de l’entente nécessaire avec l’Algérie, de « l’oubli des cas individuels » pour ne penser qu’à l’histoire de nos enfants. Encore un qui a appris son histoire dans les manuels de la FNACA et qui est prêt à battre sa coulpe comme François Hollande.
Tout est lié, le passé et le présent, le voyage officiel que doit entreprendre le chef de l’Etat en Algérie, les 19 et 20 décembre prochain, s’annonce sous les auspices les plus calamiteux pour la France.
Après avoir fait acte de repentance voici peu, avec la reconnaissance controversée de la « sanglante répression » qui aurait été commise lors des manifestations parisiennes du 17 octobre 1961, François Hollande s’apprête à offrir à l’Algérie qui n’a rien demandé, les clés de la ville d’Alger remises par le dey Hussein à l’armée française après la capitulation militaire de la ville, le 5 juillet 1830.
Le Front National sait regarder l’avenir en face mais il ne peut non plus oublier le passé qui conditionne notre présent. Si l’action de la France avait été aussi catastrophique en Algérie, des milliers d’Algériens ne se presseraient pas dans les consulats de France en Algérie pour obtenir des visas Si les banlieues s’islamisent c’est parce que la gauche mondialiste et la droite apatride sont prêtes à remettre les clés de la France à force de repentance et révisionnisme historique.
Aux côtés de nos Anciens nous saurons nous y opposer.
Miguel de Peyrecave
A noter l’absence du député, du maire et du président du Conseil général qui étaient remplacés par des seconds couteaux. La date du 5 décembre ne doit pas leur plaire.
HARKIS LES CAMPS DE LA HONTE : lien vers http://www.dailymotion.com/video/xl0lyn_hocine-le-combat-d-une-vie_news
En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des arbres, dans le département du Gard. Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. A l’époque, depuis 13 ans, ce camp de Saint Maurice l’Ardoise, ceinturé de barbelés et de miradors, accueillait 1200 harkis et leurs familles. Une discipline militaire, des conditions hygiéniques minimales, violence et répression, 40 malades mentaux qui errent désoeuvrés et l’ isolement total de la société française. Sur les
quatre membres du commando anonyme des cagoulés, un seul aujourd’hui se décide à parler.
35 ans après Hocine raconte comment il a risqué sa vie pour faire raser le camp de la honte. Nous sommes retournés avec lui sur les lieux, ce 14 juillet 2011. Anne Gromaire, Jean-Claude Honnorat.
Sur radio-alpes.net – Audio -France-Algérie : Le combat de ma vie (2012-03-26 17:55:13) – Ecoutez: Hocine Louanchi joint au téléphone…émotions et voile de censure levé ! Les Accords d’Evian n’effacent pas le passé, mais l’avenir pourra apaiser les blessures. (H.Louanchi) Interview du 26 mars 2012 sur radio-alpes.net
les jeunes qui sont morts là bas pour la France, sous un gouvernement dit « socialiste », auraient mérités que ces politiciens se dérangent.
ils montrent une fois de plus leur vrai visage, même s’ils cherchent à le dissimuler , tel ce pauvre « socialiste » qui se fait d’abord voler pour 100 000 euros chez lui, et dont on apprend aujourd’hui qu’il possède un appartement acheté 945.184 euros en 1994
Merci Miguel d’avoir si bien résumé cette affaire!
La FNACA non contente d’ignorer l’histoire, accepte implicitement de laisser insulter ses adhérents.
Quand aux autorités nous savons depuis longtemps qu’ils sont toujours du coté du manche, avec une préférence pour l’anti-France.