Conseil général : Maurice Leroy perd son sang froid !
Pour connaître les informations que certains refusent de communiquer, les citoyens peuvent avoir recours à la CADA.
Grosse colère de Maurice Leroy hier lors de l’examen du budget au Conseil général (la Nouvelle République du 14/12/2012).
Catherine Lockhart (PS) s’exprimant au nom de son groupe annonce qu’elle refuse de voter le budget communication… en raison de l’utilisation des encarts du Conseil général lors de la campagne législative.
En effet, le compte de campagne de Maurice Leroy avait été rejeté pour ce motif , suite à un recours de Jean-Yves Narquin.
Réponse en deux temps de l’intéressé : »le Conseil constitutionnel. Ce dernier a reconnu qu’il n’y avait pas eu volonté de fraude« . Nous nous en étions déjà étonnés (voir notre article du 5/12/2012), mais Maurice Leroy apporte un élément nouveau en expliquant que le ministre de l’Intérieur Manuel Valls aurait donné son aval au classement de cette affaire !
Simple tartarinade sous le coup de la colère ? En tout cas c’est énorme. Le ministre de l’Intérieur, responsable des élections serait intervenu au mépris de la séparation des pouvoirs ?
Rassurez-nous, une telle chose n’est pas possible en France !
Dernière touche au tableau : sur le montant de la dépense incriminée, Maurice Leroy refuse de répondre : « Vous voulez connaître le montant ? Poursuivez-moi au pénal ! » .
Pas de problème non plus sur ce point : Jean-Yves Narquin s’en charge.
Mais il est étonnant de voir un vieux routier de la politique perdre ainsi son sang-froid… tout en clamant haut et fort sa bonne foi !
D’autant plus que Maurice Leroy oublie un détail : tout citoyen peut s’adresser à la CADA (Commission d’Accès aux Documents Administratifs) pour obtenir des informations relatives au budget d’une collectivité.
Cette affaire est donc loin d’être terminée… et risque de ressembler pour Maurice Leroy au célèbre sparadrap du capitaine Haddock !
manifestez avec civitas, voir départ en car de Blois
Une imposture
L’émotion est grande chez beaucoup de participants aux manifestations du 17 novembre ou du 8 décembre, qu’ils soient catholiques ou non, qui se sentent trompés après avoir observé des situations surprenantes. Que Mme Barjot et ses acolytes demandent d’applaudir des duos homosexuels s’embrassant, cela laisse pantois. Que Xavier Bongibault et ses comparses fassent une fixation sur la lutte contre l’homophobie, concept inventé par le lobby homosexuel pour intimider et disqualifier les opposants à ses revendications, c’est pour le moins troublant. Que Mme Barjot se flatte devant tous les micros d’avoir participé à toutes les « gay pride » et que, lors des conférences de presse qu’elle organise, elle pousse le souci du détail jusqu’à régulièrement porter une veste marquée du logo du « Banana Café », bar gay de Paris, cela souligne des connivences étranges.
La liste devient trop longue des errements que ce trio veut imposer à tous. Petit florilège des propos tenus ces jours-ci par Mme Barjot :
– ceux qui viennent manifester le 13 janvier « seront obligés de défiler contre l’homophobie » ;
– ceux qui arrivent avec leur chapelet, « ce sera gentiment : dehors ! »
– si des militantes de FEMEN se déshabillent, que les mères de famille en fassent autant « pour être en situation d’entamer un dialogue équitable »
– « La Manif pour Tous (…) rappelle qu’elle comprend les revendications d’homo-éducation (…) » (communiqué de F. Barjot du 13 décembre)
– « Le 13 janvier, il y aura un char des homos… et j’appellerai tout le monde à venir danser sur le char gay »
J’en arrête là tant c’est insupportable. Non, les Français qui viendront manifester le 13 janvier ne veulent pas d’une «homo-éducation » dans les écoles de leurs enfants ! Non, ils ne veulent pas d’un « PACS+ » ! Non, ils ne viennent pas pour danser sur un char gay !
Laisser passer ces erreurs graves, sous prétexte d’éviter les controverses, c’est permettre qu’elles se transforment en une gangrène qui corrompra tous les combats futurs.
Savez-vous ce qu’est le scandale ? C’est d’induire le prochain en erreur par des paroles ambiguës, équivoques. Que personne ne vienne tenter de relativiser ces paroles de Mme Barjot au nom de la « com » qui permettrait toutes les inepties. Vous pensez que les mots n’ont pas d’importance ? Ils en ont bien plus que vous ne vous l’imaginez. Les mots sont la physionomie extérieure des id
encore une magouille gauche droite de plus et apres c quoi la suite??????????