Mais qui sont les barbus de l’UDI blésoise ?
Pour faire revivre la ville de Blois, il faudra sortir les mains de ses poches… et avoir quelque chose à dire. Depuis 2008 les élus centristes ont été bien silencieux au conseil municipal…
Ils n’existent que par la volonté de Maurice Leroy qui vient d’être nommé pour une mission à Moscou, ce qui lui rappellera ses jeunes années au Parti communiste. Ils n’ont pas de programme mais ils posent avec satisfaction devant la Bibliothèque de l’abbé Grégoire pour annoncer qu’ils vont s’entendre avec l’UMP pour les municipales de Blois. Ils s’appellent Louison Delvert et Jean Claude Derré.
Leur opposition au PS se limite à égratigner superficiellement la politique économique de Marc Gricourt qu’ils apprécient pourtant pour ses « grandes qualités humaines » voire humanistes. Mais, au fond, ils partagent les mêmes analyses philosophiques, européistes, mondialistes du PS. Leur club de réflexion « Construisons Blois ensemble » ressemble étonnamment au nom de la liste de Marc Gricourt. Copié/collé. Rien ne les sépare si ce n’est qu’il n’y a que 43 sièges à répartir et qu’il y a pas assez de places pour tous.
D’ailleurs, depuis que M. Derré siège au Conseil municipal de Blois nous ne l’avons pas entendu, c’est un homme secret et confidentiel. Etant donné les bonnes relations qu’il entretient avec la presse ce n’est pas qu’il a été censuré mais qu’il n’a rien proposé. Depuis 5 ans, à Blois, il n’y a pas d’opposition à la gauche ni de force de proposition. Sauf de temps à autre Jacques Chauvin qui, depuis 1983, connaît les dossiers. Mais nous sommes loin de la bataille politique locale que les élus du FN ont menée de 1995 à 2008, et qui a permis de renvoyer Jack.Lang dans le port de Boulogne.
Le Front National est prêt pour cette future échéance électorale, mais il est certain qu’il ne voudra pas se contenter comme l’UDI de vagues déclarations d’intention sans fondement précis. Le FN présentera un projet argumenté et chiffré. Il montrera sa capacité à rassembler au-delà des clivages habituels et de nombreux Blésois se retrouveront à ses côtés pour traiter des questions de sécurité, d’immigration, de fiscalité et d’emploi.
Si vous souhaitez nous rejoindre afin de sortir notre ville de son marasme, contactez-nous dès aujourd’hui : fn41@frontnational.com.
Un site dédié aux municipales pour la ville de Blois sera prochainement mis en ligne.
Reprise d’un blog ou il avait était baillonner par les anti France
http://letriolet9a.eklablog.com/
A nous la bonne sou-soupe sur le dos de ceux qui comprennent rien a la réalité du socialiste qui n’est rien de social …
Et encore heureusement que Mélenchon n’est pas au pouvoir ..
Là !!!par contre ,des barbus dans tous les sens .
Même en faire un salon des barbus… OUI déjà prêt( les mosquées)
Chaque jour apporte une nouvelle démonstration de la répugnante turpitude des socialos – en tout cas des élus et des dirigeants du pays coiffés de cette étiquette – qui ne perdent jamais une occasion de montrer qu’ils sont des menteurs, des tricheurs et des falsificateurs. On se demande pourquoi ? Eh bien, la réponse est assez simple : détruire est dans leurs objectifs.
Inutile dans faire des clones ,la France en a en stock !!!
UDI tout un (non) programme, celui des frères ?, avec au bout l’insignifiance renforcée et affichée.
Mais le principal n’est-il pas ce qu’il y a à prendre à pleines pochées ?
Derré l’ancien élu socialiste de la première liste Lang a Blois et ancien ou toujours grand maître du grand orient de France sur cette même ville ???
Les mains dans les poches… c’est pas trop comme ça qu’on se met au boulot !
Mais attention, il ne faudrait qu’il sorte ses mains de ses poches pour aller puiser dans celles du contribuable !
Quant à l’inexistence des centristes au conseil municipal, on peut dire qu’ils sont pris la main dans le sac !
réponse a FN 41 …Le barbu
« C’est fatal ! » clame Yasser l’air mossad. Le père noël le sait. Tous les barbus cachent quelque chose. La bûche entretient ses actions chez Halliburton et sa main, Oussama, celles de Coca-Cola. Les pauvres, les honteux, arborent une reconnaissance tant bien que mal. Les barbus sont souvent des communistes primaires ou des profs de mathématiques ou les deux. Les barbus ne sont pas jeunes, ils ne le souhaitent pas. En hommage à l’asthénie de Fleury, les atrophiés esquivent : un buisson pour une tumeur. Tous les barbus cachent quelque chose.
Le barbu hésite entre sa psychose maniaco dépressive et la peur hilare de son absence. Le teint moyen, tendance bipolaire, le barbu.
Extasié, il se touche la grappe et toise le cul de sa copine CGTiste. Dépressif le lendemain, il se la bouffe et s’attaque à des batteries de dépakote avant de se terminer au lithium. Le squelette blotti, il compte les moutons et s’endort sur ses coussinets révolutionnaires. Le barbu.
Les jours de solde dans les magasins de mariniers bretons, le barbu vocifère et rougit timidement ses quelques centimètres de peau sauvés par la grâce d’une implantation pileuse et respectueuse. A l’idée d’enfiler son costume d’apparat, tout sourire bouffon, pantalon bouffant, le vétéran se dandine. Car nombre de barbus sont aujourd’hui sur le retour. La fin des conflits est l’assurance d’un lot bien taillé. Les barbus sont, de prêt ou de loin, formés par des mercenaires yéménites, syriens, croates, albanais, algériens, corses ou bretons. En résumé par l’élite des sociologues du CNRS. Organisés aux confréries d’impuissants : CGT, GIA, LCR, CNT, OLP, FO, FIS, CNC… ils donnent le ton du bordel.
Dr Kraft Ebing, cet abruti, prônait que la tignasse sexuelle secondaire jouait un rôle de différenciation et d’identification. Allons y, retenons quelques adeptes qui se la donnent pubis publique : Jésus, Abraham Lincoln, Stanley Kubrick, l’ayatollah, Fidel Castro, Herman Düne, Victor Hugo, Karl Marx, les Sikhs, les juifs ou orthodoxes machins. Même leurs opposants : Satan, François Corbier et Salma Rushdie sont de la partie. Les barbus sont des feignants, des artistes, des entretenus, des fantômes ou des prophètes… que des têtes de césariennes ! Pis, la célébration, l’ode aux tambours et aux instants chavirés. Les bûcherons qui se rassemblent tous les 14 juillet en tas de lésions pour PLV d’état. Les barbus n’ont pas fini.
Tu ronges ton frein ! Comment devenir cet être de savoir, d’expériences et de safari ? Nous savons, la barbe est un diplôme, un signe ostentatoire de médisance, une victoire en coupe… Fin 2005, le bien rasé syndicat des commissaires de police suggère le repérage des perturbations du comportement pilaire dès la crèche et l’école maternelle. Des traits de caractères, tels que la froideur affective, la tendance à la manipulation, le cynisme, l’agressivité, mais aussi l’indocilité, l’impulsivité, l’indice de moralité bas, sont ainsi mentionnés par l’Inserm comme associés à la précocité du port de la barbe. Le barbu doit être cerné à moins de 3 ans.
Le dodu. Le barbu sait, a connu, le barbu n’est pas moyen,
il est différent : mi-homme, mi-auréole.
Blisten – 2006 – paru dans Nuke Magazine