Jean Marie Le Pen à Blois : visite reportée
Pour des raisons d’agenda, notre président d’honneur Jean-Marie Le Pen est contraint de différer sa visite à Blois prévue le 12 mai.
Cependant la cérémonie d’hommage à Jeanne d’Arc est maintenue comme prévu à 11 heures dans les jardins de l’Evêché, elle sera suivie comme tous les ans d’un repas.
Pour les personnes qui avaient réservé, les chèques n’ont pas été encaissés, nous les contacterons individuellement pour savoir si elles souhaitent venir quand même, sinon nous leur retournerons le chèque.
Nous vous tiendrons informés dès que nous aurons une nouvelle date pour Jean-Marie Le Pen, vraisemblablement en septembre.
Nous profitons de ce message pour vous rappeler également la manifestation du 1er mai à Paris, pensez à vous inscrire.
Notre Jeanne d’arc D’Alger ..
La France est en danger, si elle ne réagi pas vite, voilà le même phénomène se produira sur notre territoire Français avec la gauche pro islam où Hollande se repenti sans savoir ce qu’ils nous ont fait… ou même nos statues auxquelles nous tenions ont subi un supplice par ses barbares… après l’indépendance…
Le 4 juillet 1962, la foule qui se pressait autour du monument improvisait des danses frénétiques rythmées par le battement des mains et les youyous stridents des femmes en haïk.
Jeanne d’Arc fut alors « mouquérisée » à l’aide d’un haïk blanc, le visage, bien entendu, voilé …
Il ne faut pas confondre indépendance des peuples et libération de la femme
Plus tard, un écriteau fut suspendu au cou du cheval avec pour inscription : Hassiba bent Bouall, nom de la militante F.L.N. condamnée à mort en 1957 et seule femme à avoir exécutée.
Un mois plus tard, le vendredi 3 août, Ben Bella entrait à Alger, les habitants organisèrent une bruyante réception.
La nuit du vendredi au samedi fut extrêmement agitée.
Les derniers monuments français encore en place en firent les frais.
Vers quatre heures du matin, des manifestants munis de grosses cordes, aidés par des voitures, renversèrent les deux tonnes et demie de la statue, puis ils décapitèrent Jeanne
coupèrent le bras droit qui tenait l’épée symbole de la croix.
La statue mutilée et sens dessus-dessous resta ainsi quarante-huit heures.
Les journalistes la photographièrent et leurs clichés parurent dans la plupart des journaux de France.
Dans la nuit du 5 au 6 août, des militaires français du génie emportèrent la statue pour la mettre dans un de leurs dépôts.
Un matin de mars 1963, le sergent Robert, occasionnellement manutentionnaire d’engins de levage lourd, fut appelé à Fort-de-l’eau pour embarquer la statue, à l’aide d’une grue Garwood de vingt tonnes, dans une péniche de débarquement.
Trois généraux et bon nombre d’officiers assistèrent à l’opération.
Merci patron, merci l’europe
http://www.fdesouche.com/367412-economisez-30-sur-votre-main-doeuvre-grace-a-leurope-et-au-detachement-de-personnel
un archevêque attaqué par des chiennes
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