Blois : le dérapage du représentant de la Ville de Hué
Un des charniers de Hué en 1968 après l’attaque des communistes : entre 2500 et 3000 civils froidement liquidés.
La Ville de Blois s’est engagée depuis 2007 dans une coopération avec la ville de Hué au Vietnam.
Avant d’ouvrir les débats du conseil municipal, Marc Gricourt a donné la parole au président du Comité populaire de la Ville de Hué, qui s’est adressé à l’assemblée et au public en vietnamien, avec l’aide d’un interprète.
Ce qui démontre la perte d’influence de la France dans l’ancienne Indochine, et confirme nos interrogations sur l’intérêt d’une telle politique de coopération.
Mais où le représentant de Hué a outrepassé les règles de la bienséance, c’est lorsqu’il a ajouté dans sa conclusion un salut fraternel aux représentants locaux du parti communiste.
Une forme d’ingérence inacceptable, qui aurait dû provoquer la réaction de Jacques Chauvin et de l’UMP. Comme vous l’avez deviné, ils n’ont pas eu le moindre mot de protestation.
Il est vrai que cette coopération avait été décidée par Nicolas Perruchot…
Le commissaire politique de la Ville de Hué (au centre), son interprète et le Maire de Blois.
Mise à jour du 20/11/2013 : les représentants de la ville du Hué ont profité de cette visite aux frais du contribuable pour rendre visite au siège blésois du parti communiste.
Le Vietnam se transforme en Chine bis : ultra capitalisme qui détruit les campagnes, pollue, et un régime politique de fer, archaïque.
Les élus FN du conseil municipal de Blois avaient été les seuls à s’opposer à la venue et aux subventions de ce représentant d’un des derniers états totalitaires communistes.
Notre critique avait fait sourire le maire, N.Perruchot qui avait estimé naturelle cette coopération. Au motif que la science n’avait pas de frontières.
Nous n’avons pas oublié et nous saurons le rappeler pendant la campagne électorale à l’UMPS socialo-communiste qui se permet de chanter les odes à Staline dans la Bibliothèque municipale.