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Vérités sur la venue de Jean Marie Le Pen et Bernard Monot à Vineuil

Des manifestants aux slogans débiles, qui ne recherchaient qu’un chose : empêcher la tenue de notre réunion. Ils ont été déçus !
Après s’être félicité du succès politique de la venue de Jean Marie Le Pen il faudra faire le point sur le coût des dégradations de la salle des fêtes de Vineuil et celui de la surveillance par les policiers et gendarmes, venus non de Blois mais de Vannes, pour permettre à la liberté de s’exprimer. Des dizaines de milliers de francs à régler par le contribuable qui est déjà ponctionné et vidé ! Car il va de soi que pour la réunion de Brice Hortefeux à Blois, salle Jean Cros, vendredi, il n’y aura pas le même dispositif. La vraie gauche ne va pas attaquer la fausse droite de l’UMP dans ses meetings et les bâtiments ne seront pas tagués. Ils se connaissent et s‘aiment bien.
Voilà où nous mènent les « démocrates » de la gauche qui laissent penser que ce sont des anarchistes incontrôlables qui font ces dégradations mais se gardent bien de les dénoncer publiquement. A noter toutefois que les élus PS de Vineuil n’ont pas osé se mêler aux manifestants anti FN car, eux, connaissent le coût de la restauration des locaux dégradés et ils savent surtout que les contribuables vinoliens leur demanderont des comptes.
Quand Jean Marie Le Pen perd son prénom et Brice Hortefeux garde le sien !
Nous ne ferons pas de commentaires sur le premier article de la Nouvelle République qui était presque une invitation à manifester contre Jean Marie Le Pen (Lien), ou du moins de dissuader les participants au meeting.
De même, le choix d’un titre ambigu, qui laissait entendre que la salle avait été « saccagée », a pu faire croire que la réunion ne pouvait pas ‘y tenir. Plusieurs personnes nous ont téléphoner pour être sûrs que la réunion était bien maintenue !
Notons au passage que Jean Marie Le Pen perd son prénom dans le compte rendu de la Nouvelle République tandis que Brice Hortefeux le conserve. Nuance d’importance, signe d’une antipathie spontanée pour l’un et d’une empathie amicale pour l’autre. Adieu la froide objectivité textuelle !
Le second article de la Nouvelle République titrait que la liste Bleu Marine, « fraîchement accueillie, avait tout de même tenu son meeting en pays vinolien »(la Nouvelle République du 16/5/2014). Il faut préciser que le FN était « fraîchement accueilli » par une infime minorité de manifestants, professionnels de la chose et le « tout de même » montre bien que ces manifestations agressives avaient un seul but : annuler le meeting. Raté ! Quant à savoir s’ils étaient 200, nous les avons comptés, ils n’étaient pas 100 tandis que les participants à la réunion du FN étaient bien 400. Il suffisait de compter les chaises et les personnes debout ! Nous l’avons fait !
Pas de périmètre de sécurité
On notera au passage que la contre manifestation, organisée en concertation avec la Police, prévoyait le rassemblement en contre bas, près de la bibliothèque. Et pourtant, les communistes se sont installés sur le parking, à 5 mètres de l’entrée de la salle, sans qu’ils soient refoulés ou déplacés par les policiers. Si bien que la proximité de l’entrée de la salle risquait d’entraîner un conflit difficilement maîtrisable. Le périmètre de sécurité demandé par la Préfecture n’a pas été respecté et c’est une chance si rien n’a été dégradé. A qui la faute ? Pas au FN !
Le même comportement il y a 30 ans !
Pour terminer, les anciens se souviennent qu’il y a exactement 30 ans, dans cette même salle, tandis que le « démocrate » Pierre Sudreau, maire de Blois, avait refusé les salles municipales à Jean-Pierre Stirbois, candidat FN en campagne électorale comme Bernard Monot, Robert Moreau, maire de Vineuil avait loué la salle des fêtes.
De plus, il s’était rendu en personne sur les lieux afin ramener à la raison manifestants anti-FN qui tentaient de bloquer l’accès à la salle, alors que la Police était curieusement absente.
Les nervis d’extrême gauche n’avaient pas hésité à le bousculer et le jeter à terre.
Un « détail » sans doute pour certains journalistes peu scrupuleux.
Mais Robert Moreau s’en est longtemps souvenu, et lors d’une soirée électorale – ce devait être les cantonales de 2004 – il avait tenu à se faire photographier au Conseil général entouré par Miguel de Peyrecave et Michel Chassier.
Cette photo doit bien figurer dans les archives de la Nouvelle République ?

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