Blois, Europe, Loir et Cher, Région Centre-Val de Loire

Pendant les élections, le matraquage européiste continue.

EurochomageEn dépit du matraquage européiste, les jeunes ont voté massivement pour les listes du Front National. Et ils savent pourquoi.
Les journalistes de la Nouvelle République doivent se désespérer devant le vote des Loir et Chériens en faveur du FN eurosceptique. En effet, cette semaine à 3 reprises, ils nous rappellent les « bienfaits » de leur Europe. Le 24, la veille des élections, nous trouvons un compte rendu du programme Comenius par lequel des élèves de La Providence ont participé à des échanges avec la Suède, l’Italie et… la Turquie, qui ne fait pas partie de l’UE. La veille, on pouvait lire un article évoquant 4 élèves du Lycée Ronsard partis en stage en Angleterre ou en Espagne dans le cadre du projet Erasmus. Il s’agissait pour la NR « d’apprendre à devenir européens ». Rien que ça. Trois jours plus tard, ces mêmes journalistes nous relatent le déplacement d’un groupe de lycéens de Dessaignes partis en Pologne en avril.

Comme si le voyage ne suffisait pas, vendredi après-midi, Yann Bourseguin, vice-président délégué de la Région Centre, a procédé à la remise des attestations « Parcours d’Europe » une sorte de diplôme qui fait surtout la publicité de l’exécutif PS de la Région.
Ces déplacements à l’étranger méritent quelques remarques de notre part.
D’abord, nous devinons dans ces comptes-rendus une volonté partisane de participer à la campagne pro-européiste. Ils montrent en cela le fossé qui sépare le peuple de ses « élites » qui doivent « se pincer pour affronter le réel ». Ensuite, faut-il rappeler que ce n’est pas l’Europe ni la Commission qui finance mais la France, laquelle ne fait que récupérer une partie de ce qu’elle a versé dans la cagnotte européenne.
Par ailleurs, on se demande pourquoi les pays non européens comme la Turquie sont intégrés dans ces programmes sinon dans la perspective des eurocrates de forcer la main du peuple de France.
Même si nous ne contestons pas le bien fondé de ce trop bref apprentissage linguistique, nous observons que la réciprocité n’est pas exigée et que la culture française ressort affaiblie de ces échanges qui donnent la priorité à une langue hybride qui n’est ni l’anglais ni le français.
On notera enfin que, si la région finance ces voyages à hauteur de 5,7 millions d’euros, les parents sont aussi sollicités pour compléter le financement de leurs enfants. Et cela pèse en période de crise dans les familles. D’autant que l’on sait que le programme Erasmus est en situation de faillite.

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Fédération Départementale du Front National de Loir et Cher

4 Réponses à “Pendant les élections, le matraquage européiste continue.”

  1. Le 28 mai 2014 à 19:37 Sylvestre Brunaud a répondu avec... #

    Encore une nouvelle surprise sur le chiffe du chômage au mois d’avril …Mais rassurez vous le quinquennat n’est pas terminé, François nous réserve encore des surprises, nous allons de record en record, Il restera dans l’histoire de France comme le plus grand président de tous les temps. Le plus grand homme de la chute industrielle …Nous devrions encore remercier tous ceux ayant voté pour lui, ils ont littéralement sauvé la France !!!

  2. Le 28 mai 2014 à 7:35 Sylvestre Brunaud a répondu avec... #

    Bonjours à tous ; Puisque vous parlez de la Turquie, qui ne fait pas partie de l’UE,juste une petite pointe de terre et nos technocrates jouent la dessus ..Enfin chez vous en Loir et Cher ,vous-y êtes d’une région assimilée Turque !

    L’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne nous concerne tous, car elle aurait des conséquences négatives énormes sur la construction de l’Europe, son avenir, son identité. Selon le rapport de la Commission des Affaires Étrangères de l’Assemblée Nationale, nous savons que le coût financier pour la France pour faire rentrer la Turquie serait de 3 à 5 milliards d’€uros par an jusqu’en 2025 et de 25 à 33 milliards d’€uros par an pour l’Union Européenne.
    De plus, qu’en serait-il des délocalisations intra-européennes si la Turquie devenait membre de l’Union Européenne, quand on connaît le coût de la main d’œuvre dans ce pays ?

    • Le 28 mai 2014 à 14:12 Franky37 a répondu avec... #

      Surtout que la Turquie est frontalière avec la Syrie par exemple, et que là, les européistes pourront donner la preuve de cette absurdité que l’UE protège ses ressortissants de la guerre puisqu’avec une frontière avec un pays en guerre nous y serions directement mêlés !

      • Le 29 mai 2014 à 10:11 vador a répondu avec... #

        bien d accord avec vous, mais ces hommes politiques qui au demeurant sont censès protèger au mieux notre pays sa population ses interets n ont de cesse que de le dèmanteler par leurs compromitions et leurs manque de courage.

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