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Europe : les masques tombent !

Alexis Tsipras : quand l’extrême-gauche soutient l’ultra liberalisme !
Rappelez-vous : pendant toute la campagne des européennes, la gauche a essayé de nous faire croire que le socialiste allemand Martin Schulz pourrait devenir président de la Commission européenne.
En réalité, ils savaient parfaitement que le PSE n’aurait pas la majorité et qu’ils devraient se résoudre à un compromis, comme dans la mandature précédente. C’était cousu de fil blanc !
Comme prévu, ils vont donc s’arranger avec le libéral Jean-Claude Juncker. L’UMPS n’existe pas qu’à Paris !
Par contre les médias n’ont pas beaucoup commenté le soutien apporté à M. Juncker par un certain Daniel Cohn Bendit. Du côté des écologistes européens également les masques tombent !
Enfin, nous apprenons que le représentant de l’extrême-gauche grecque, Alexis Tsipras, idole des médias du sytème, se ralliait aussi à la candidature Juncker. Cela vous étonne ? Pas nous.
Il y a longtemps que nous avons compris que cette extrême-gauche n’était qu’un instrument docile aux mains des tenants du mondialisme, il n’est qu’à voir l’exemple de célèbre Lula da Silva au Brésil – lui aussi encensé par les médias français – élu Président en 2002 comme représentant d’un « parti de travailleurs »… pour appliquer à la lettre la feuille de route du FMI, et finir en 2010 à la « une » du magazine Time.
Si les élections européennes avaient lieu aujourd’hui, le Front National serait peut-être à 30 % !
Communiqué de Presse d’Edouard Ferrand, Membre du Bureau politique du Front national, Député Français au Parlement européen :
« Les masques tombent… Dans un entretien au quotidien Le Monde, le chef de l’extrême gauche grecque, Alexis Tsipras, apporte sans le moindre scrupule son soutien à l’accession de Jean-Claude Junker à la présidence de la Commission européenne. Sous le fallacieux prétexte que le PPE serait le parti dominant au Parlement européen, Tsipras — qui au passage ne fait que confirmer son attachement indéfectible aux institutions de l’Union européenne —, affirme qu’ « il faut trouver une solution européenne au problème de la dette ». Ecartant la sortie de l’euro, pourtant source des malheurs du peuple grec, il montre qu’il est avant tout un très grand défenseur de la « dettocratie », en proposant une restructuration de la dette grecque avec un éventuel appel aux eurobonds, qui fera certainement les délices de la finance internationale. »

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