Les trafics du Château de Blois
Certains naïfs pensent que la drogue ne se vend et ne se fume que dans la ZUP. Grosse erreur. Cela se fait en plein centre de Blois, devant le château, en pleine saison touristique (la Nouvelle République 4/8/14). Le 30 juillet dernier, avertis par des commerçants qui avaient découvert que ce trafic se faisait au vu et au su de tout le monde, les policiers ont mis la main sur deux revendeurs et plusieurs consommateurs.
Trois remarques à propos de ce type d’événement :
1/ Evidemment, l’un des 2 vendeurs était un récidiviste de 21 ans connu pour avoir été en infraction avec la législation sur les stupéfiants, vol avec arme et extorsion. La récidive n’est pas sanctionnée.
2/ Le délinquant ne comparaîtra que le 25 mars prochain devant le tribunal correctionnel de Blois. On imagine l’effet dissuasif nul d’une audience 8 mois après les faits. La Justice n’a plus les moyens de fonctionner.
3/ Le projet de dépénalisation de la drogue qui est dans l’air taubiresque, la distinction faite par les écologistes entre les « drogues douces » et les « drogues dures » entraîne une banalisation des comportements. C’est pour cela que les vendeurs-délinquants agissent à visage découvert, en plein centre. Ils ne craignent plus rien ni personne dès lors que certains responsables politiques donnent le mauvais exemple et se vantent d’avoir fumé du cannabis ou pris de la cocaïne.
Le Front national ne peut que s’insurger contre cette attitude laxiste des pouvoirs publics. Il veut défendre la santé physique et morale de nos jeunes compatriotes.
Photo FR3 : Une importe saisie de drogue chez le domicile d’un trafiquant Blésois en janvier 2014