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Rythmes scolaires : 300 000 euros par an à Romorantin, combien à Blois ?

lire écrire compterLire, écrire, compter : donnons à tous nos enfants une première chance, avant de se retrouver en échec dès la sixième !
En réponse à la question de notre élu municipale Katia Vacher, le maire de Romorantin Jeanny Lorgeoux a fait une réponse intéressante à plus d’un titre (la Nouvelle République du 9/10/2014).

« Votre remarque est pertinente, Madame », a d’abord observé Jeanny Lorgeoux, preuve que nos élus sont sérieux et attentifs.
Sur la question du coût pour la Ville de Romorantin, le sénateur-maire a dévoilé le chiffre de 300 000 euros par an, dont 225 000 à la charge de la Ville. Ce qui nous fait douter des propos du Maire de Blois, qui annonçait pour sa part un coût identique – 300 000 euros par an -mais un nombre d’élèves presque 3 fois plus élevé. D’ailleurs notre élue blésoise Mathilde Paris avait évoqué au conseil municipal le montant de 800 000 euros, qui semblerait plus cohérent. Nous demanderons à nouveau des précisions au maire de Blois.
Et si la question n’avait pas été posée par Katia Vacher, les Romorantinais auraient-ils connu ces chiffres ? 
Mais au-delà de l’aspect financier, le sénateur-maire de Romorantin, « désireux de se montrer honnête » , exposa sur la réforme de Monsieur Peillon un point vue qui sort un peu de langue de bois : « Ma première interrogation porte sur le fond : est-ce, pour l’enfant, une bonne réforme ? Très honnêtement, je n’en sais rien. Des spécialistes pensent que oui, d’autres que non. »
Ce qui tend à confirmer que Jeanny Lorgeoux est bien comme il dit parfois « un socialiste modéré, modérément socialiste« .
Le Front National pour sa part est en désaccord avec cette réforme, mal menée, coûteuse pour les collectivités, et qui n’apporte rien aux enfants, si ce n’est ajouter de la confusion aux horaires de classes, des déplacements supplémentaires pour des activités parfois d’un intérêt limité au détriment des enseignements de base : lecture, écriture, calcul, histoire, là où précisément de graves lacunes sont constatées à l’entrée en sixième. Sans parler des complications pour les parents.
Mais qu’on se rassure : si ces petits écoliers se retrouvent demain en situation d’échec, ils pourront fréquenter après 18 ans « l’école de la deuxième chance », où ils apprendront, peut-être, ce que l’école désorganisée de Chatel en Peillon ne leur a pas appris à l’âge où les enfants sont pourtant le plus réceptifs. En dehors du Front National, qui donc souligne ce paradoxe ?

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Fédération Départementale du Front National de Loir et Cher

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