Cachez ce « saint » que je ne saurais voir !
Statue de Saint Martin dans l’église de Coulanges.
Vous habitez à Saint-Gervais la Forêt ou à la Chaussée Saint Victor ? Attendez-vous à ce que votre village soit débaptisé ou renommé ! Au nom du « vivre ensemble », un rapport officiel préconise de supprimer toute référence chrétienne dans les noms de communes ! Pour quelle raison ? Pour plaire à qui ?
C’est ce que propose le rapport que le groupe « Laïcité et République moderne » doit rendre à Manuel Valls en avril. Depuis le « mariage » pour tous, on connait la méthode gouvernementale qui consiste à agiter des débats de société pour faire oublier les échecs économiques et sociaux.
Revoir les noms c’est refaire le monde.
Ce rapport réalisé par le député PS du Cher, Yann Galut et le sénateur vert du Val-de-Marne, Esther Benbassa, veut « revoir la toponymie de la France à la lumière du vivre ensemble ». Pour eux, « une fracture sémantique s’est développée dans la société. De moins en moins nombreux sont les habitants de notre pays qui comprennent à quoi renvoient les noms des communes ». En clair ils veulent dire que les populations immigrées ne se retrouvent pas dans la toponymie française et qu’il faut la changer.
Il faut en arriver à la page 27 de ce rapport (qui en compte 52) pour que le mot musulman soit enfin cité. « Une fraction croissante de la population d’origine musulmane est heurtée par des appellations toponymiques qui sont autant de manifestations d’une époque archaïque où l’identité de la France, loin de s’assumer comme plurielle, se définissait exclusivement sous le signe d’une chrétienté triomphante et totalitaire. » Rien que ça ! On retrouve dans ces lignes une phraséologie de combat qui laisse penser que le rédacteur a fait ses classes chez les anticléricaux marxistes et qu’il répète la voix de son maître !
La principale mesure suggérée est de débaptiser tous les noms de communes comprenant « saint » dans leur intitulé, afin de « relaïciser profondément la République » et de supprimer un « affichage discriminant » !
L’idée n’est pas nouvelle : sous la Convention de nombreuses communes ont changé de nom pour effacer tout qui pourrait « rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou de la superstition« .
C’est ainsi qu’en Loir et Cher Saint Gervais devint « Bonne Crème » puis « Gervais sur Cosson », Saint Bohaire devint « Bienboire », ou encore Coulanges transformé en « Cou sans Culotte » !
Comme aujourd’hui, ces mesures prises sous le régime de la Terreur visaient à détourner le mécontentement populaire face aux difficultés d’approvisionnement, à la hausse du prix des denrées alimentaires et la dévaluation du cours de l’assignat.
Un décret du 8 juillet 1814 mis fin à cet épisode, mais on voit que les révolutionnaires n’avaient pas attendu Georges Orwell pour inventer la « novlangue » !
Après la refonte des programmes d’histoire destinée à effacer notre mémoire collective, on voit bien que tout est fait pour dissoudre notre identité, avant de faire disparaître notre nation.
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même si c’est une blaque, un hoax, ils ne rêvent que de ça les pourris : détruire la France éternelle, notre France,transformer les derniers Français en moutons à la botte du lobby qui n’existe pas, les remplacer par des demi-sauvages, des microcéphales bien manipulables, des ripoublicains pur sucre à l’image de certains porteurs de plusieurs CNI
qui a pour ambition de devenir une de ces m…
POISSON D’AVRIL très bien écrit par « Minute » qui en est la source.
J’ai téléphoné au Cabinet du Premier ministre pour avoir la confirmation de cette bonne farce républicakine.
Vous pensez bien que les républicains savent très bien que si une telle chose était faite par eux, c’est toute la France qui rejoindrait Alliance royale.
C’est un vieux rêve républicain que de débaptiser tous les noms de villes et villages français contenant le mot « saint ». Il va aussi falloir débaptiser le nom du lycée Saint-Louis et du lycée Louis-le-Grand, débaptiser aussi ma rue, à Vendôme, qui rappelle le saint (saint Bienheuré) qui a évangélisé le Loir-et-Cher et qui est haï par la franc-maçonnerie locale, puis les francs-maçons vont s’attaquer à la statue de saint Michel Archange sur le Mont-Saint-Michel, qui est le saint qu’ils détestent le plus, car il est représenté en chevalier terrassant le diable, révéré par les francs-maçons « Satan, notre père commun. » (Voltaire). La présence des musulmans sur notre territoire n’est qu’un prétexte pris par la franc-maçonnerie pour réaliser la déchristianisation de la France rêvée par elle. La ficelle est un peu grosse !