Centre-Ville de Blois : un sentiment d’abandon.
Dans le cadre du projet d’aménagement Centre-Ville Loire, les travaux de la place de la place de la Résistance vont bientôt démarrer. La Ville tente aussi de relancer le programme des ravalements de façades.
Tout cela est utile, mais pour quel résultat si dans le même temps la situation du Centre-ville ne cesse de se dégrader ?
La présence de SDF, souvent alcoolisés et accompagnés de chiens, autour de la place Valin de la Vaissière commence à poser problème. D’autant plus que s’y ajoutent aujourd’hui des dealers, qui opèrent sur cette place proche du coeur de ville.
Les bancs du petit square, près de l’espace de jeux pour enfants, sont souvent occupés par ces individus, dont on se demande qui leur fera respecter l’interdiction de fumer sur les aires de jeux ! Déjà, l’arrêté interdisant la consommation d’alcool dans les lieux publics n’est pas appliquée.
Et la situation ne s’arrange pas. La propriétaire d’un local à usage de bureaux rue du Bourg Moyen vient de nous contacter. Ne parvenant pas à louer son bien en raison de la mauvaise image du quartier, elle a décidé de le vendre, en baissant son prix bien sûr.
Venue faire un état des lieux ce week-end, elle a eu la désagréable surprise de voir son local squatté. Les occupants ont fini par partir, mais en laissant derrière eux de nombreuses dégradations, il a fallu faire intervenir un électricien, un serrurier, un parquettiste…
La Police n’a pu que constater l’occupation illicite et inciter la propriétaire à porter plainte. Ce même lundi dans la journée, une autre patrouille a du intervenir place Louis XII suite à une agression.
On nous signale aussi un appartement squatté quai de l’Abbé Grégoire, avec des dealers dans les escaliers.
Bref, c’est tout un quartier qui voit son environnement se dégrader. Les commerçants sont également pénalisés par cette mauvaise image, et que doivent penser les touristes quand ils découvrent ce spectacle, et les détritus abandonnés sur la voie publique : bouteilles, canettes, emballages alimentaires, sans parler des crottes de chien.
Nous poursuivons notre enquête sur le quartier, et nous comptons bien relayer les protestations des riverains, résidents ou commerçants auprès de la ville.
Il est possible de nous contacter par mail : fn41@frontnational.com
vu le nombre de toxicos qui défilent à l’hôpital je peux vous dire qu’il y a de l’héroÏne, de la cocaîne, biens sûr du haschisch qui abaisse le seuil de décompensation des schizophrènes et favorise les pathologies mentales, sans parler du LSD des acides des amphétamines et du Crack.
Bref, Blois c’est la ville des toxicos, des alcooliques.
la permissivité sociapitre et ripoublikaine ?