Vidéosurveillance à la Quinière : le vote FN porte ses fruits !
En 1998, il avait fallu que Michel Chassier, candidat FN sur Blois IV, fasse 43,4% au 2ème tour pour que Jack Lang se résolve à doubler les effectifs de la Police municipale ! Tout en refusant de voir la réalité : il ne voulait admettre qu’un vague « sentiment d’insécurité ».
En 2001, Miguel de Peyrecave avait axé la campagne municipale du FN sur la sécurité, alors préoccupation majeure des Blésois, en proposant 10 mesures, dont quelques-unes seront reprises par la nouvelle municipalité de Nicolas Perruchot.
En particulier la vidéosurveillance, qui va être mise en place sur les endroits « sensibles » de la ZUP, puis au Centre-ville.
Bien que contestant le principe, la gauche revenue aux affaires va maintenir le dispositif… et même le compléter.
C’est ainsi que le centre commercial de la Quinière, théâtre de nombreux incidents et agressions des derniers mois, vient d’être équipé à son tour, à la grande satisfaction des commerçants et des habitants.
Il est aisé de comprendre que le score réalisé par le binôme du Front National lors des élections départementales de mars 2015 n’y est pas pour rien : 38,43 sur l’ensemble du nouveau canton, et 47,33% à l’école Molière. L’avertissement a paru suffisamment sérieux pour que le maire de Blois réagisse !
Tant mieux, cela prouve l’utilité incontestable du vote FN.
D’ailleurs, lors de la visite de la secrétaire d’Etat à la ville début juillet, Marc Gricourt a souligné les inégalités de traitement entre quartiers engendrés par le contrat de ville, reprenant à son compte l’analyse des élus FN !
Comme quoi non seulement le FN pose les bonnes questions, comme disait Michel Rocard il y a plus de 20 ans, mais il apporte aussi les bonnes réponses !
Résumé du programme de Michel Chassier et Laura Naegelen en mars 2015 : Flyer Blois 1
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C’est étonnant, durant de nombreuses années, et avant la désertification du centre commercial de la Quinière, la municipalité, déjà de gauche, refusait d’y investir un sou sous prétexte que les locaux appartenaient à des bailleurs privés. Est-ce que, par hasard, le centre commercial de la Quinière deviendrait « communautaire » ?