Drogue, délinquance et « chances pour la France ».
Le Tribunal correctionnel de Blois vient de juger et condamner 8 hommes pour des trafics de cocaïne et de cannabis.(la Nouvelle République 21/7/15) Certains ont déjà été jugés et condamnés il y a quelques mois pour l’incendie criminel de la discothèque de Montlivault, d’autres étaient également impliqués dans le vol d’un coffre dans cette même commune. Des « professionnels » de la délinquance !
Il s’agit d’Amar – un algérien qui a rejoint l’Algérie la veille du coup de filet. Y aurait-l il eu des fuites (*) - Abdel, Rachid, Mohamed, Ibrahim, Smaïl. Une équipe homogène d’amis et de parents complétée par Vincent et Kévin dont on ne sait pas si ce sont des prénoms authentiques ou d’emprunt.
Les charges reposent surtout sur les écoutes téléphoniques et les accusations que se sont mutuellement portées certains protagonistes avant de se rétracter. Bien sûr les délinquants ont refusé de préciser pour qui ils stockaient le cannabis et les policiers n’ont pas trouvé beaucoup de produits lors des perquisitions. Le réseau est efficace, ethnique et solidaire.
Même la presse reconnaît que les peines prononcées sont plutôt « modérées ».
Pourtant, le Blésois moyen qui a assisté à l’audience s’interroge sur les explosifs et la grenade qui ont été trouvés à leur domicile. Après les derniers attentats sanglants des islamistes il fait un lien entre les djihadistes et la délinquance. Mais personne ne s’en est inquiété au Tribunal. Bizarre ! A cause du « Padamalgame » ?
(*) Rachid Boussif, bien connu des services de Police, était le gérant de fait d’une discothèque blésoise malgré ses condamnations passées, il a été condamné le 10 mars dernier à 8 ans de prison en tant que commanditaire de l’incendie de l’Insomnia en février 2013.
Cela fait plusieurs nuits que les hauts potentiels de banlieue du quartier Quinière font un bordel pas possible. Malgré les appels à la police, débordée, le vacarme continue : pétards, vociférations de groupe, cris jusqu’à une heure tardive.
Nos compatriotes apprécient pleinement l’enrichissement de ces pratiques et l’apport à la civilisation française de ces cris, des conversations ponctuées d’insultes « bâtard, nike ta mère la pute » sans parler de l’apport financier issu du trafic de stupéfiants.