Place Lorjou, rue Michel Bégon : les symboles de l’échec du PRU
Place Lorjou, des cellules commerciales qui ne trouvent pas preneur. Qui osera dire pourquoi ?
Un vendredi après-midi vers 16 heures : la place Lorjou était déserte… hormis 4 ou 5 « jeunes » désoeuvrés » qui discutaient près d’une voiture.
La plupart des commerces étaient fermés, le bar devait ouvrir peu après. L’une des vitrines est remplacée par un panneau provisoire en bois.
De l’autre côté de la rue, les cellules commerciales nouvellement construites risque d’attendre longtemps avant de trouver preneur : le promoteur a préféré toutes les murer solidement à l’aide de parpaings.
Mais ce calme durant l’après-midi cesse à la tombée de la nuit : les habitants nous disent que les « rodéos » continuent sur la place et dans le rue de l’Amiral de Tourville et que l’activité des dealers se poursuit « presque 24 h sur 24, 7 jours sur 7″.
Le grille qui protège le porche d’entrée de la résidence qui donne sur la place est régulièrement forcée, car l’endroit est commode pour ce genre de trafic, à l’abri des regards.
Au dire des habitants, ils voient passer une voiture de patrouille de temps en temps, mais les policiers n’en descendent pas. Chacun se souvient des émeutes qui avaient suivi une interpellation Place Lorjou fin octobre 2014.
Résultat, comme à Kennedy jadis, certains locataires qui ne supportent plus cet environnement demandent à être relogés.
Le problème c’est qu’aujourd’hui, ce n’est pas mieux du côté de la Quinière…
En continuant le tour du quartier, la rue Michel Bégon illustre également l’échec du PRU : loin d’ouvrir le quartier et d’en faire une zone rentrant dans le « droit commun », pour reprendre la terminologie officielle, on n’y voit pratiquement plus que des commerces communautaires.
Quant au village d’entreprise, la Ville de Blois l’a transféré à l’Agglo après avoir épongé le déficit de l’opération.
Les élus du Front National ont été les seuls depuis le début à faire le bon diagnostic, et à proposer d’autre solutions.
Dommage qu’ils n’aient pas été entendus.
La plus belle réussite du plan de rénovation urbaine… c’est d’avoir tué la mixité dans les quartiers sensibles ! Quasiment plus de commerces non hallal et peu de population d’origine française (à ce sujet, à quand la création d’un label ?).
Sans doute afin de moins se faire répérer par la police, ces rodéos envahissent la rue Montesquieu, dans sa partie derrière la mosquée.
Celà se passe en particulier les fins de semaine et à partir de 19 heures.
J’ai habité la Quinière il y a 10 ans, face à l’ancienne école maternelle de la Quinière. Le quartier était calme, ni trop populaire, ni trop bourgeois. Maintenant quand on voit ce que ce quartier de Blois devient, comme Blois Vienne d’ailleurs. C’est le résultat de la politique de dispersion des communautarismes de la ZUP et de ses racailles à toute la ville. Demain personne ne sera épargné, ensuite ils envahiront nos campagnes. Français réagissez avant qu’il ne soit trop tard, avant que l’on ne soit plus maître chez nous, étranger dans notre propre pays. Il faut diffuser au maximum les idées du Front National, convaincre nos compatriotes de votez Front National à toutes les prochaines élections, c’est une question de survie de notre identité, de notre histoire, de notre patrie.
Hier soir tard dans la soirée, le quad, la moto faisait des allers retours avenue de la Pinçonnière à toute vitesse et avec le bruit adéquat ….. où allaient-ils ? d’ où venaient-ils ? c’est leur balade rapide qui résonne ! Les policiers font certainement ce qu’il faut dans le cadre de leur travail mais ces » conducteurs » sont coriaces et se moquent bien du code la route ………. et de la population aspirant au calme nocturne.
Quinière même combat, du bruit, des « jeunes » qui trainent et discutent fort jusqu’à 3 heures.
La relève pour les années futures. Les hauts potentiels de banlieue les futurs dirigeants d’entreprise de demain hein ?