Vous avez dit végétarien ? Pensez «hallal» !
A quoi est dû ce soudain engouement pour le végétarien ou le végétalien? C’est simple, les responsables communautaires musulmans imposent d’une façon plus ou moins directe la présence de la viande « hallal » -c’est-à-dire une viande venant d’un animal égorgé selon le rite musulman et permettant l’apport d’une participation financière aux responsables religieux- dans les cantines ou restaurants scolaires.
C’est parti. A quelques jours de la rentrée scolaire, le débat sur les menus végétariens est lancé par les services de la propagande officielle. Yves Jégo, un député centre gauche, ancien ministre de Sarkozy, a lancé une pétition « pour une alternative végétarienne obligatoire dans les cantines scolaires ». Un article dans la presse locale (la Nouvelle République 24/8/2015) fait la promotion du menu végétarien dans certains restaurants du Loir et Cher.
Face à cette pression, les responsables politiques ou scolaires n’osent pas dire « non » à cette dérive communautariste et choisissent d’esquiver et de botter en touche en proposant cette « alternative végétarienne». En avançant des arguments légers ou fallacieux.
Alors qu’on nous a dit pendant des siècles que la viande est une nourriture excellente pour la santé, voilà qu’on nous répète aujourd’hui que c’est mauvais et qu’il faut lui préférer les légumes. La seule raison est qu’elle est le signe tangible alimentaire d’une catégorie de consommateurs, musulmans en majorité, qui exigent leur mode d’abattage et leurs circuits de distribution. Et il ne faut pas donner l’impression qu’on cède du terrain alors que c’est une défaite en rase campagne.
Pour nous faire passer « la pilule végétarienne », des écologistes comme Florent Grospart, ancien élu de Vendôme, nous disent que les jeunes ne mangent pas de viande « par éthique ». C’est contestable ! Quand on voit la population qui investit les Mac Do, il est permis d’en douter. Ce raisonnement laisse de côté la défense des éleveurs français (bœuf ou porc) qui peuvent disparaître dans l’indifférence des Verts.
Quant à savoir si les Français mangent moins de viande parce qu’elle consommerait beaucoup d’eau c’est oublier le prix de la viande qui en freine la consommation. Pour les Ecolos « cette alternative végétarienne, à valeur universelle, évite de stigmatiser qui que ce soit.» Encore une fois, on évoque à mots feutrés le problème en filigrane, sans jamais le désigner, pour ne pas « stigmatiser ». Autant dire que c’est une défaite de l’esprit, préfiguration d’une défaite plus grande.
Il faut le répéter : nos éleveurs sont dans une situation critique, nous devons favoriser la consommation de leurs produits, contrairement à ce que préconisent les « politiciens végétariens » qui pensent que cette question est secondaire. Vous verrez bientôt comment la fausse droite et la vraie gauche passeront sous les fourches caudines des ayatollahs de la cantine!
c’est normal que les légumes de l’umps, du centre mou et autres gauchistes verts proposent ce genre de menus
plus laches, plus bêtes, plus communautaristes, plus vendus au système qui nous détruit c’est difficile à trouver que tous ces politiciens et journalistes aux ordres
si les millions, les centaines de millions de clochards qui veulent venir chez nous débarquent, en plus de ceux qui nous ont déjà envahis depuis quarante ans, on est morts, notre pays est mort, notre mode de vie sympa est mort !
Personnellement je suis assez pour des menus végétariens dans les cantines de temps en temps (bon pour la santé et diététiquement positif). Le problème, c’est que j’ai bien conscience que ceux qui veulent l’imposer répondre plus aux préoccupations communautaristes de certains plutôt qu’à une vraie question de choix gastronomique.
Par rapport à la défense de l’élevage et de l’agriculture française, il faudrait imposer aux cantines scolaires et d’entreprises l’utilisation de produits venant exclusivement de France (viande, légumes et fruits): c’est le sens d’une économie patriote et responsable (produire et consommer localement).