UDTFN 2015 : Lutter contre la mondialisation sauvage et le « tout Europe »
Le FN seul dans la lutte contre la mondialisation sauvage !
Gilles Lebreton (député Français au Parlement Européen, en photo à gauche) a présenté ses arguments pour lutter contre le fléau de la mondialisation, à savoir le rétablissement du protectionnisme à nos frontières (droits de douanes pour les produits importés en France) pour lutter contre le dumping social et une suppression de la directive détachement des travailleurs, dont avait outrageusement usé le Parti Socialiste pour l’organisation de son Université d’été à la Rochelle. Aussi, Edouard Ferrand, est intervenu sur le travail des élus FN au parlement européen au sein du nouveau groupe politique baptisé « Europe des Nations et des Libertés » dont il est en le Président : il a pour rôle d’infléchir les positions ultra-libéralistes de l’Union Européenne et favoriser les projets collaboratifs entre nations libres et souveraines.
L’agriculture sacrifiée sur l’autel du traité transatlantique et du « tout Europe »
L’Union Européenne s’apprête, elle, à franchir un nouveau pas dans les négociations qu’elle impose aux Etats-Unis pour accoucher du traité transatlantique (TAFTA) qui sacrifiera à jamais nos atouts nationaux : en première ligne notre agriculture Française, un thème présenté par Philippe Loiseau (en photo à droite), céréalier en Eure-et-Loir, tête de liste régionale pour le Centre-Val de Loire. Un atout remis en cause par Bruxelles qui interdit la préférence nationale et met en situation de concurrence déloyale les producteurs de porc breton vis à vis de leurs homologues européens, ou plus localement chez nous, les oignons d’Eure-et-Loir face à ceux exportés par le Maroc en France avec le concours des aides subventionnelles du conseil régional du Centre… et le silence de mort de la fausse droite locale.
L’euro, tombeau Grec et fléau national français.
Bernard Monot, député français au Parlement Européen de la circonscription Centre-Massif Central et stratégiste économique s’est exprimé sur la situation préoccupante de la Grèce, dont 50% Français s’étaient déclarés en faveur d’une sortie de l’euro il y a deux mois – 10 ans après son refus de se voir imposer des traités européens, véritables boucliers anti-nations. La Grèce connaît ainsi une instabilité économique et politique menée par son premier ministre qui n’a jamais tenu ses promesses à savoir quitter l’institution européenne mais dont il a préféré subir les exigences – à savoir une tutelle permanente sur le dos des contribuables européens, français en tête alors que les grecs avaient strictement exprimé leur désaccord dans les urnes.