Analyse : un Etat en décomposition.
Le grand désordre se répand en Loir-et-Cher depuis ce week-end. Les clandestins soudanais s’installent à Blois, à l’AFPA. Les Turcs fêtent publiquement à Romorantin les résultats d’une élection turque pro-islamique. Une dizaine de caravanes s’installe devant l’entreprise ESB de Plaisance, sur le parking, juste derrière Carrefour.
Et ce n’est pas la première fois puisque la même scène s’est déjà produite il y a quelques semaines. Le Directeur, Eric Delmas, a dû annuler ses rendez-vous étant donné le triste spectacle offert aux visiteurs. Quant aux livraisons de matériel, « elles ne peuvent pas être assurées. (la Nouvelle République 3/11/2015).
Face à cette situation, on constate l’impuissance du pouvoir local et national. Autant dire que l’état de droit n’est plus respecté et que l’on court le risque de voir les particuliers faire valoir leurs droits, par eux-mêmes.
Explication de la situation. L’aire d’accueil de la route d’Orléans est fermée parce qu’elle a subi des actes de vandalisme début juillet. Le local technique situé à l’entrée a été incendié et il faudra attendre plusieurs semaines avant d’avoir les pièces nécessaires à la réparation. Michel Barré, l’adjoint au maire à la sécurité de Romorantin a déclaré que « les gens du voyage savent qu’ils ne pourront pas être expulsés » dès lors que la Préfecture NE VEUT PAS INTERVENIR. Il faut le lire pour le croire !
En plus, la Mairie leur a proposé d’aller aux Grandes Bruyères où il y déjà une cinquantaine de caravanes installées. Dix de plus, cela n’aurait pas été un problème mais les nomades n’ont pas voulu y aller « pour des problèmes de mésentente.» Et puis quoi encore ! C’est le monde à l’envers. Où est le « vivre ensemble » si les Nomades ne sont pas capables de s’entendre entre eux ?
L’Etat ne fait plus respecter la Loi. Ces Nomades s’assoient sur la Loi et la propriété privée. La Mairie se déclare débordée et impuissante. Les Français en ont assez. Gare à leur colère face à ces situations qui se multiplient partout en France.
Une seule question : Qui dénonce cet état de fait sinon le Front National ? Vous y penserez pour le scrutin des régionales de décembre !