Blois : manifestations interdites… sauf pour l’extrême gauche !
Depuis l’état d’urgence, les manifestations sur la voie publique sont soumises à autorisation et strictement contrôlées.
Or en 2 jours à Blois, 2 manifestations de l’extrême ont eu lieu à Blois, sans aucune réaction des autorités.
D’abord samedi après-midi devant la Préfecture, où une cinquantaine de militants d’extrême-gauche (Jeunesse communiste, NPA, LO, CGT…) entendaient protester contre la politique étrangère de la France, dire « non à l’escalade guerrière, oui à la paix, la solidarité et le progrès social« . Autrement dit, mais ce n’est pas une surprise, l’extrême-gauche refuse que l’on s’en prenne à ceux qui ont commandité les massacres de Paris. A noter la présence d’un conseiller municipal de Blois, Alexis Bouchou. Qu’en pense le maire de Blois, Marc Gricourt, tête de liste PS aux régionales qui s’apprête à fusionner au 2ème tour avec les communistes ?
Comme le rapporte la Nouvelle République « ce rassemblement s’est déroulé sans intervention des forces de l’ordre, restées discrètes. »
Même scénario ce dimanche, où environ 120 personnes se sont rassemblées dans les escaliers Denis-Papin, malgré l’arrêté préfectoral interdisant les manifestations sur la voie publique. Les participants ont ensuite formé une chaîne humaine, et marché jusqu’au pont Jacques-Gabriel (source : la Nouvelle République du 29/11). Toujours aucune réaction des autorités.
Cela démontre les limites de l’état d’urgence décrété par François Hollande. Il est vrai que la Police a fort à faire face à une délinquance qui ne faiblit pas, avec des moyens réduits à cause de la COP21 pour laquelle on a fait appel à des renforts prélevés sur l’effectif blésois.
Au passage, essayez d’imaginer la réaction des autorités et des médias si le Front National décidait d’organiser une manifestation en dépit de l’interdiction. On imagine facilement que la répression serait immédiate, et que les médias unanimes nous accuseraient de ne pas être « républicains ». Il suffit de se rappeler que M. Valls n’a pas hésité à faire gazer des familles avec leurs enfants, alors qu’elles manifestaient pacifiquement et en toute légalité contre le mariage « gay ».
Chargement ...
Ils manifestent et en regardent bien je vois ce merdeux de l’ancien de la CGT de l’hôpital de Blois gros fainéant l’homme à la barbe blanche et veste bleu ce cher Gaetan, ce connard il prend votre argent pour les cotisation mais il défend même pas ceux qui cotisent la preuve moi, j’ai était viré de l’hôpital parce-que j’ai fait une dépression ce qui arrive malheureusement, mais lui devant le directeur en 2003 n’a rien dit n’a rien fait n’a pas bougé même pas une parole et t’appelle cela la CGT, et de plus j’était stagiaire, la vérité c’est qu’à cette époque mon poste où j’étais il y avait deux personnes alcooliques et des cas socials ce que disait la direction et la CGT impossible de les virer donc moi à la porte parce que j’ai dénoncé les conditions de travail de harcèlement, je me suis fais taper avec des bleus sur le corps et sur la tête et j’ai rien dit parque j’avais des enfants à nourrir et des crédits, crachat des insultes, il était toujours saoul dès le matin au soir il volait des bouteilles de rouge à la cuisine et des complices de la cuisine donnaienr aussi de la nourriture en cachette, on allait dans les services pour faire notre travail et il insultait les patients avec des propos déplacés sous la forme de phrases sur le sexe, il abordait aussi les familles pour dire des choses honteuses, et leur responsable leur donnait raison et fermait les yeux , et ma menaçait de licenciement, moi qui demandait à travailler avec des valeurs pour la santé voila la réalité de certains hôpitaux de France rare mais c’est bien la réalité, vous Français vous allez chaque jours à votre travail et si un jour des bourreaux vous font du harcèlement moral et physique et bien ça marque à vie