Conseil municipal de Blois : la suite de nos interventions.
Des tablettes numériques pour les écoliers ? Est-ce que cela va les aider à mieux lire et écrire ?
Un conseil municipal avec vote du budget (voir notre article précédent), le lendemain d’une élection, ce n’est pas courant. Mais le maire de Blois a osé le faire dans un climat spécial où les excellents résultats du FN y étaient pour quelque chose. D’ailleurs, dans la salle, sur 3 élus au Conseil régional, deux étaient du FN !
Le conseil a été l’occasion de parler des associations et du régime de faveur que Marc Gricourt réserve à certaines alors que nous devrions faire des économies. Nous y reviendrons plus en détail dans les prochains jours.
Une hausse importante des tarifs de location de salles municipales.
Les élus du Conseil ont voté les nouveaux tarifs des locations de salles municipales et le FN a été le seul à s’opposer à l’augmentation très importante de ces tarifs. Quelques exemples : la demi-journée du pavillon de Brisebarre passe de 42,90 euros à 90. La grande salle, de 91,40 à 120. La salle Jean Cros de 69,40 à 90. La salle Beauce de 182,10 à 200 euros. On est loin du 1% habituel et l’argument qui consiste à dire que l’on a procédé à un ajustement par rapport aux salles de la périphérie de Blois ne vaut pas. On aurait pu lisser cette augmentation pour ne pas léser les Blésois.
Une gestion centralisée des salles municipales qui laisse à désirer.
Miguel de Peyrecave a aussi souligné le manque de cuisines dans les salles municipales. Ce qui rend plus difficile l’organisation des fêtes de famille. D’autre part, avant de procéder à cette hausse brutale, on aurait pu établir un bilan centralisé sur la fréquentation de ces salles et les souhaits des utilisateurs, autres que les associations qui risquent d’être les seules à les fréquenter. Autant de points de gestion qui permettraient de mieux rentabiliser les locaux municipaux.
Le Front National félicite le Museum d’histoire naturelle de Blois
Le Front National qui promeut et défend la vraie culture a salué les efforts scientifiques et la rigueur de gestion du Museum d’Histoire naturelle des Jacobins. Lequel, avec peu de moyens, va bientôt rivaliser par sa fréquentation avec un centre comme La Fondation du Doute.
Le FN s’est étonné du manque d’harmonisation des tarifs entre ces 2 établissements. La Fondation du Doute bénéficie de plus de gratuités que le Museum. Bizarre. Un peu comme si l’on voulait à tout prix obtenir plus de visiteurs pour gonfler les statistiques.
Allez voir le Museum avec vos enfants ; il vous plaira, c’est du sérieux. Si vous allez voir la Fondation du Doute, il vous en coûtera 7 euros, c’est plus cher et moins sérieux.
Le contribuable blésois finance l’accueil des clandestins et demandeurs d’asile. Seul le FN s’y oppose.
La ville va participer à l’entretien et à l’insertion des demandeurs d’asile en attente d’étude de leur dossier par une quote-part versée pour la garde des enfants dans les crèches.
Jusqu’ à présent le maire nous avait dit que la ville ne déboursait pas un centime pour les clandestins, migrants ou demandeurs d’asile. Nous avons maintenant la preuve du contraire.
Si les Blésois savaient que 96% des demandeurs d’asile restent en France et que cela nous coûte 690 millions, sans parler des frais de santé et scolarité… A noter que, pour la socialiste qui a rapporté cette délibération, les clandestins (ou les 75% de demandeurs d’asile déboutés) doivent être intégrés, quelque soit leur nombre. Le PS est pour l’ouverture béante des frontières, sans contrôle ni limite.
Le FN a été le seul à s’y opposer. L’UMPS a voté pour financer els dépenses des clandestins.
Ecole numérique. Le Front National fait part de ses réserves.
La Ville va dépenser 764 000 euros pour l’acquisition de matériel informatique, dont des tablettes et la connexion internet, pour les écoliers du primaire.
Le FN a fait valoir des réserves quant à l’utilisation de cet outil en primaire. Ce media risque de servir d’écran entre le maître et l’enfant, de le détourner de ce lien humain qui doit exister entre ces 2 personnes dans la transmission du savoir et de la compréhension du monde. Ce media, au moins dans la phase d’élaboration de la personnalité d’un enfant, isole, ferme et déshumanise, ce qui est grave en période de croissance et de socialisation.