A Blois, l’enfant est un objet de transaction commerciale
Christiane Taubira peut démissionner, son projet catastrophique de changement de société vient d’aboutir. L’enfant est un objet !
Pour la première fois en France, la Justice française vient de cautionner la marchandisation de l’être humain. Et cela vient de se produire, chez nous à Blois, hier, le 27 janvier 2016 (la Nouvelle République du 27/01/2016).
Les faits : entre 2011 et 2013, une Vendômoise, déjà mère de famille, avait accepté de « porter » un bébé pour d’autres personnes stériles. Et pour cause, il s’agissait d’homosexuels en mal de paternité. Cette démarche ne se faisait pas gratuitement mais en échange d’une dizaine de milliers d’euros.
Dans cette affaire, le glauque s’ajoute au crapuleux, les 2 étant validés par les dispositions de Christiane Taubira, du LGBT et des réseaux spécialisés. La future mère porteuse s’est en effet rendue au domicile des deux homosexuels, à Toulouse, pour s’inséminer elle-même avec le sperme de l’un des deux compagnons. A moins que cette auto-dénonciation des plus sordides ne soit une manière de couvrir une filière officielle et subventionnée par des deniers publics.
Après avoir accouché à la Polyclinique de Blois, elle leur a annoncé que l’enfant était mort-né, qu’elle ne pouvait le leur remettre, alors qu’elle l’avait vendu une deuxième fois à un autre couple homosexuel.
Les réquisitions du Procureur, qui sont la position de la société sur la question posée sont édifiantes et représentent une véritable révolution/inversion sur la définition de la personne humaine. Elles se sont placées sur le seul Droit Commercial !
Le procureur a requis 1 an de prison dont 9 mois avec sursis et les couples ont fait l’objet d’une amende de 2000 € … avec sursis.
Le Procureur aurait pu réagir différemment aux exigences de sa patronne. En effet, si « la plume est serve, la parole d’un procureur est libre » et il aurait pu donner un avis personnel sur l’énormité inhumaine de ces réquisitions imposées par la Place Vendôme.
La marchandisation de l’ETRE HUMAIN est lancée officiellement. Elle sera bientôt cotée en Bourse. Les grands Laboratoires n’attendent que cela. On sait déjà que les fœtus jetés après les avortements servent à l’élaboration de certains produits de beauté. Le débat s’est placé sur le terrain commercial et non sur l’essentiel, la VIE qui, avec le Transhumanisme, nous conduit tout droit à la disparition de la DIGNITE humaine dont on nous rebat les oreilles avec la fin de vie. Tous ceux qui nous parlent d’Humanisme ou de Droits de l’Homme sont prêts à considérer qu’un fœtus, un enfant se trouve sur le même rayon qu’un meuble ou une voiture. Aucune pétition ne viendra protéger l’Enfant ballotté de rayon en rayon ou en tête de gondole ! Comme un vulgaire objet bientôt frappé de la TVA.
Il est temps de réagir. Cette situation est insupportable et le Front National ne peut que condamner cette façon de ne pas rendre la justice et de se contenter de dire le Droit du Commerce sans dire le Droit de l’Homme et de son Petit, le plus faible. Tout en étant aux ordres des sociétés de pensée activistes du lobby homosexuel militant. Car cette affaire est bien la conséquence directe du « mariage » homosexuel, refusé par des millions de personnes et dont Sarkozy annonce qu’il ne le supprimera pas. A la différence du Front National qui s’est engagé à le faire.
L’enfant sans défense est en danger. Personne ne pourra dire « je ne savais pas ». Cela s’est passé, ici, à Blois, chez nous, hier. En attendant de lire les attendus et la décision finale des juges, nous vous invitons à réagir en le faisant savoir au Tribunal de Blois ou dans les urnes.