Un racisme bien pratique qui tourne à l’obsession.
Les audiences du tribunal de Blois sont souvent le reflet de notre société. Elles démontrent aussi que le racisme n’est pas celui que nous serinent les campagnes de propagande du gouvernement.
Les faits de l’audience du Tribunal de Blois.
Une bénévole chargée de régler la circulation pour le championnat régional de duathlon à Saint-Ouen interdit à un automobiliste de s’engager sur la route pendant la compétition. Le chauffeur s’énerve, insulte la jeune femme et lui crache dessus. Un homme s’interpose (bravo, monsieur ! Comme quoi tout le monde ne reste pas inerte devant une agression) et reçoit un coup de poing. Le tout agrémenté de menaces de mort. Les policiers arrivent mais l’agresseur n’est plus là (la Nouvelle République 4/4/2016).
Quatre jours plus tard, l’homme agressé croise le prévenu dans une boucherie de Vendôme, lequel, certain de son impunité, renouvelle ses menaces de mort.
Qui est le prévenu ?
Depuis 1999, ce prévenu sans nom ni prénom a été condamné 22 fois pour vols en réunion, violences, conduites sans permis, usage de stupéfiants. Il faut ajouter à cela les 49 mains courantes prises à son encontre, entre 2007 et 2016. Une « belle » carte de visite !
Que plaide l’avocat pour le défendre ?
Le prévenu-boxeur aurait « un problème de gestion de la colère » et s’il était condamné à de la prison il ne pourrait pas se faire soigner. Il faut donc le laisser en liberté.
D’autant qu’il a « un emploi » puisqu’il s’occupe de sa fille de 17 mois pendant que sa femme travaille !
Et l’avocat ajoute que s’il réagit aussi violemment c’est qu’il se sent victime de racisme anti-noir car, « dans une petite ville comme Vendôme, il peut y avoir un climat où l’on se sent rejeté ». Ca y est, l’excuse fatale et incontournable est lâchée. l’accusé est victime d’un racisme provincial ordinaire.
La décision du tribunal.
Mais cela ne suffit pas à convaincre la présidente du tribunal qui « a entendu cela quinze fois et qui a du mal à croire en sa capacité d’amendement ». Le prévenu-boxeur sera condamné à six mois de prison avec mandat de dépôt et 330 € d’amende. Comme les prisons sont surchargées, il est certain qu’il ne fera pas les 6 mois.
La morale.
De plus en plus, des magistrats consciencieux, certains de nos compatriotes en ont assez d’entendre les mêmes sornettes concernant les soi-disant victimes du racisme surtout si ces « victimes » ont fait l’objet de 71 plaintes, mains courantes ou condamnations. Les choses évoluent parce que les faits sont têtus. La réalité s’impose, le racisme n’est pas là où les propagandes nous disent qu’il est.
Bravo à celui qui est intervenu !!
Je peux témoigner d’une expérience sur une course de cyclisme FFC, 3ème catégorie, en 2007 à Dreux (28), dont le circuit passait à proximité d’une cité , à laquelle je participais. Celle ci a dûe être interrompue avant son terme, car les crachats, les bras d’honneur et insultes ( sales français, sales blancs, PDs…….) sur les coureurs se sont transformés, au fur et à mesure de la course, en jet de pierres et coups de poings…. La haine à l’état brut !!!