Une voiture brûlée à Saint Aignan, une autre à Vendôme.
Rue Racine à Saint Aignan.
C’est devenu presque quotidien, au point qu’un tel événement est relaté à chaque fois en quelques lignes par la Nouvelle République.
Pourtant une voiture brûlée, un incendie volontaire, ce n’est pas anodin. En particulier pour les victimes, souvent des personnes modestes, dont le véhicule est le seul moyen de se rendre au travail.
Et quand il s’agit d’une voiture qui n’est plus toute jeune, l’assurance ne rembourse que la valeur vénale, ce qui ne permet pas de se racheter une voiture.
Cette fois c’est à Saint Aignan qu’une voiture a brûlé vers 2 heures du matin dans la nuit de mardi à mercredi, rue Racine.
Ce qui est frappant c’est de voir aussi à quel point ce type de délinquance touche maintenant tout le département, et plus seulement les zones urbaines ou périphériques.
Si nous relatons ces faits, c’est parce que nous considérons qu’on ne doit pas se résoudre à les accepter et à les minorer.
Mise à jour : la Nouvelle République annonce par une brève à 10 h 38 qu’une voiture a été incendiée dans la nuit de mercredi à jeudi rue Henri-Dunant à Vendôme. Selon l’expression habituelle, « les circonstances de l’incendie sont pour l’heure indéterminées. »