Vous avez dit « dialogue interreligieux » ? Nous, nous disons d’abord « France »!
Sur fond d’orgue, après la messe en mémoire des combattants morts pour la France en 14/18, Monseigneur Batut, évêque de Blois, chante l’hymne à la joie, main dans la main avec un responsable politico-musulman, Houari Ben Yagoub (la Nouvelle République du 12/11/2016). Grande surprise ou même scandale pour beaucoup de fidèles.
Mais quel est le sens de ce geste qui n’est pas en rapport avec ce que l’on attendait un 11 novembre, à savoir évoquer le souvenir patriotique de nos parents qui ont fait le sacrifice suprême de leur vie et de leur jeunesse? Un sacrifice qui dépasse les clivages religieux et fonde notre liberté actuelle.
Le dialogue inter-religieux christiano-musulman ? Non, ce n’était ni le jour ni le lieu d’un tel « dialogue » qui, d’ailleurs, s’il existe, n’est pas possible dans les pays musulmans où les chrétiens sont minoritaires et dont il faudrait définir d’une façon claire les contours et les objectifs afin d’éviter les bavardages préchis-préchas. Ce qui n’a jamais été fait. A plus forte raison quand on sait que la « taqiya » (la « dissimulation ») est possible lorsque les musulmans sont minoritaires.
Par ailleurs, au nom de qui et de quoi M. Houari Ben Yagoub est-il habilité à se mettre en avant pour être l’interlocuteur de ce « dialogue », lui qui a du mal à fédérer les différentes moquées de Blois et ne vient que pour SA mosquée sunna ? Le 11 novembre, il aurait fallu parler de la Patrie, de la France de son histoire civilisatrice, de son sens du sacrifice et de sa capacité à réunir des hommes de culture et de religions différentes autour du drapeau tricolore. Des mots qui englobaient toutes les composantes religieuses des combattants morts au Champ d’honneur.
Mais cela n’était pas possible avec l’hymne à la Joie dont les paroles (lesquelles ? Il y en a plus de 4 différentes) inspirées par les Frères n’ont aucun enracinement ni aucun projet fédérateur. Il aurait pu être chanté par les signataires des accords de Munich !
Au même moment, à Mossoul, dans un bizarre dialogue armé, des musulmans sunnites combattent contre des musulmans chiites. Dans la bataille de rues, il y a 2000 islamistes, venus de France, avec un passeport français… ainsi que, mais en face, des éléments de nos Forces spéciales. C’est vers ces derniers que vont nos pensées et nos prières le 11 novembre 2016.
Pour info Monsieur Houari BenYagoub (représentant de la mosquée Sunna) qui chante main dans la main avec l’évêque Monseigneur Batut est aussi un militant politique et fan de Perruchot, il était candidat sur la Liste UDI-LR-MoDem aux élections régionales 2015.
Est-ce la peur qui le fait agir ?????
Je suis chrétien mais si cela est avéré je suis consterné .Mais peut être que cet évêque se laisse convertir a l’islam ?
Mon Dieu !