Contre la terreur islamiste, nous sommes tous Berlinois.
Rassemblement à Blois après les attentats de Bruxelles en mars 2016.
Nous ne commentons généralement que l’actualité locale. Mais le nouvel attentat islamiste qui vient de frapper Berlin nous touche aussi directement.
Il fait écho à la série d’attentats meurtriers qui ont frappé la France et la Belgique depuis deux ans.
N’oublions pas qu’avant même Charlie Hebdo et l’Hyper casher, un des touts premiers attentats avait eu lieu à Nantes le 22 décembre 2014, et déjà c’était une voiture qui avait foncé dans la foule d’un marché de Noël.
On avait aussitôt parlé d’un « déséquilibré ». Après Charlie Hebdo, on avait surtout insisté sur la liberté d’expression, après Nice d’une acte de sauvagerie. Avec toujours la même mise en garde : « pas d’amalgame ».
« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » écrivait Albert Camus. On ne saurait mieux dire face à ces attaques dont les politiques refusent de dire le nom.
Aujourd’hui encore seule Marine Le Pen a le courage de dire la vérité aux Français, dans un communiqué publié ce matin, dont le titre sans équivoque dénonce l’attentat islamiste au marché de Noël de Berlin, à l’heure où les autorités Allemandes en étaient encore à « envisager la piste d’un attentat ».
En conclusion de son communiqué Marine Le Pen appelle les autorités à redoubler de vigilance : « en ces périodes de fêtes, non seulement il convient de renforcer la sécurité des marchés de Noël, mais aussi des messes le soir de Noël dans nos églises. »
Nous relayons cette demande auprès du représentant de l’État en Loir et Cher, d’autant plus que les signes de radicalisation se multiplient.
Nous signalions la fermeture du Crédit Agricole de la rue Michel Bégon sous la pression d’islamistes refusant d’être servis par des femmes, il y a eu il à quelques jours l’affaire d’une serveuse menacée au square Augustin Thierry parce qu’elle portait une jupe. La semaine dernière c’est dans un bureau de tabac du centre ville qu’une femme a été insultée et menacée pour la même raison. La victime a pu alerter des amis qui sont arrivés rapidement faisant fuir les islamistes, mais par peur de représailles elle a préféré ne pas déposer plainte.
Mais pendant ce temps le député Denys Robiliard préfère s’en prendre aux élus FN lors du dernier conseil municipal en les accusant comme toujours d’exagérer la menace. Quant à l’Evêque de Blois, il invite les musulmans à la Cathédrale !
Rassemblement en soutien à Alep jeudi aussi.
Pour fêter la libération d’Alep ?
Les tueurs islamistes de Paris, de Bruxelles, de Nice ou de Berlin sont les mêmes que ceux qui terrorisaient la population d’Alep, crucifiaient les hommes, violaient les femmes et égorgeaient les enfants.
Vive Alep libre !