Vendôme : une gauche dogmatique contre la vidéo-surveillance !
Renaud Grazioli, conseiller municipal FN de Vendôme et responsable du canton.
Lors du dernier conseil municipal à Vendôme il a été question à nouveau de la vidéo-surveillance, ou plutôt de vidéo-protection selon la terminologie du Ministère de l’Intérieur.
Il s’est encore trouvé, en 2017, des élus de gauche (PS, PC) pour s’y opposer (la Nouvelle République du 06/02/2017).
On croit rêver ! A tel point qu’une ancienne conseillère municipale de l’équipe de Daniel Chanet juge ce comportement « indigne, dogmatique et purement électoraliste« .
Le Front National, par la voix de Renaud Grazioli (Vendôme Bleu Marine) a voté en faveur de la convention proposée.
Notre élu vendômois est déjà intervenu par le passé pour défendre l’installation d’une vidéo-protection, tout en soulignant que cela ne suffirait pas à résoudre la question des moyens affectés au commissariat de Vendôme.
Rappelons qu’à Blois Jack Lang s’était opposé, lorsqu’il était maire, à l’installation de caméras proposées par les élus du Front National.
Le maire suivant l’a fait, et aujourd’hui Marc Gricourt (PS tendance Hamon) poursuit l’installation du dispositif.
La gauche vendômoise semble bien vivre dans un autre siècle.
A croire que les opposants ne sont pas touchés ou gênés par la délinquance et la violence. Des irresponsables face à l’insécurité galopante dans nos villes et nos campagnes.
la gauche vendomoise protège son électorat délinquant et communautaire