Le projet présidentiel de Marine Le Pen porte aussi la question sociale
Les militants du cercle Front syndical, les syndicalistes patriotes, étaient présents aux Assises Présidentielles de Marine Le Pen à Lyon les 3 et 4 Février. Nous avons ainsi pu constater comment Marine, à travers une cohérence politique forte, porte très haut la question sociale, puisque figurent notamment parmi les 144 engagements présidentiels :
-la suppression de la directive « détachement des travailleurs » pour mettre fin au dumping social par et dans l’Union européenne (Engagement 38),
-le retrait de la loi Travail dite loi El Khomri (Engagement 53),
- le maintien de la durée légale du travail à 35H avec la possibilité d’une négociation au niveau des branches pour rallonger la durée du temps de travail avec compensation salariale (en clair si on passe à 39H, c’est 4H payés en plus). Mesure qui permettra d’augmenter le pouvoir d’achat, donc qui favorisera la relance de l’économie (Engagement 63),
- le maintien de la majoration des heures supplémentaires et leur défiscalisation. On applique vraiment le «travailler plus pour gagner plus » (Engagement 64),
- la préservation de la liberté syndicale.
Ainsi la défense du modèle social français est réaffirmée et ne peut que passer par la défense de l’Etat-nation et par la récupération de nos souverainetés spoliées par l’Union Européenne.
La candidature de Marine Le Pen à l’élection présidentielle est donc bien la seule candidature qui défende les intérêts des salariés et du monde du travail dans sa diversité, la seule vraie candidature des acteurs de l’économie réelle. C’est ce que les militants du cercle Front syndical porteront sur tout le territoire.
Dominique Bourse-Provence, Responsable national du cercle Front syndical
Laurent Bras, Secrétaire Général du cercle Front syndical