Blois : une jeune fille victime de tirs à la carabine en plein jour à la Quinière.
Jeudi vers 18 heures, deux jeunes filles sortaient paisiblement d’un hall d’immeuble rue jean de la Fontaine à hauteur de l’arrêt de bus. Soudain l’une d’elles est touchée à la jambe par un tir de carabine à plomb. Trois autres impacts seront découverts dans son dos, heureusement arrêtés par l’épaisseur des vêtements (la Nouvelle République du 11/03/2017).
Tout le monde s’interroge dans le quartier sur la motivation du tireur.
L’article tente une explication : « s’agit-il d’un jeu qui dérape, orchestré par un jeune qui n’aurait pas conscience de la gravité de son acte ? »
Pour notre part, il nous semble pour le moins choquant de parler d’un « jeu », dès lors qu’il y a eu 4 tirs successifs et ciblés, donc parfaitement intentionnels.
Les enquêteurs devraient être en mesure de déterminer rapidement de quelle fenêtre sont partis les tirs, ce qui permettra d’identifier leur auteur.
En attendant, après le nouvel incendie au Centre commercial une semaine plus tôt, le climat d’insécurité se fait encore encore un peu pesant plus dans le quartier.
« un jeune qui n’aurait pas conscience de la gravité de son acte » ? Quel âge aurait-il donc, 4 ou 5 ans ? C’est à chaque fois la même rengaine : un véhicule brûle, ce sont des jeunes… etc…
Nous sommes vraiment au pays des bisounours ! Un peu de réalisme messieurs-dames les journalistes !
NR du jour : la mère de l’ auteur des faits les avait cachées chez la grand-mère.
Que la justice sanctionne …
Un jeu ? non mais c’ est à peine croyable d’ employer ce genre de vocabulaire. Pure délinquance dangereuse car traumatisante pour la personne visée.