Les causes cachées de la pauvreté à Blois.
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Le clip de campagne du Front National en 2008 : il est toujours parfaitement d’actualité.
La Nouvelle République publie un article sur la hausse de la pauvreté à Blois… sans vraiment en analyser les causes.
Le maire PS, Marc Gricourt, se contente de demander davantage de solidarité aux communes rurales, autrement dit il demande aux autres de payer les conséquences des décisions politiques de ses prédécesseurs, alors qu’il continue dans le même sens.
Cette question avait déjà été évoquée il y a quelques mois en commission générale devant les élus municipaux.
Elle n’est pas nouvelles, puisqu’en 2008, lors des élections municipales, le Front National faisait déjà le constat… mais expliquant aux Blésois pourquoi nous en étions arrivés là.
En fait le basculement s’est produit dans les années 80, avec l’arrivée massive d’une immigration favorisée par le regroupement familial et la présence à Blois d’un parc de logement sociaux importants.
Par un système de vases communicants, les Blésois « de souche » ont progressivement déserté les quartiers de la ZUP les plus touchés en raison d’une cohabitation vite devenue impossible dans certains immeubles, n’en déplaise à ceux qui rêvent encore du « vivre ensemble », et ils étaient vite remplacés par de nouveau arrivants.
Au bout de 30 années de politique de la Ville de centaines de millions d’euros dépensés, force est de constater que le problème est toujours là, et même qu’il risque de s’amplifier dans les prochaines années.
Selon l’INSEE, plus d’un tiers de la population Blésoise est désormais composées d’étrangers stricto sensu, d’immigrés devenus français et de leurs enfants, automatiquement français dès lors qu’ils naissent sur notre sol.
Ils forment la majorité de la population dans certaines parties de la ZUP, et le Plan de Rénovation Urbaine en a réparti dans d’autres quartiers, ne faisant qu’étendre les difficultés.
Ce phénomène s’est aggravé avec la montée du chômage de masse, dont l’immigration constitue l’une des causes, l’autre étant le mondialisme et la perte de notre souveraineté économique.
Cela fait que la parc social blésois accueille aussi les personnes en difficulté, en situation précaire, les familles monoparentales, tandis que les familles aux revenus plus élevés ont pour beaucoup quitté la ville.
Malheureusement on ne voit pas ce qui pourrait renverser la tendance tant que se poursuivront les politiques menées tant au niveau national qu’au niveau local, soutenues à tour de rôle par tous les partis de l’établissement, du PC à LR en passant par le PS, l’UDI, le MoDem et bien sûr En marche.
Rien a ajouter ou contredire c’est une très juste et bonne analyse
Y’en a marre !
ce constat est criant de vérité mais les élus comme le gouvernement préfèrent appliquer le principe de couple pour se donner bonne conscience