Aides-soignants menacés aux urgences de Blois : l’agresseur au casier judiciaire chargé laissé en liberté.
Centre hospitalier de Blois.
L’info est publiée sur le site Internet de la Nouvelle République : un « Blésois de 43 ans » était jugé cet après-midi en comparution immédiate pour avoir menacé deux aides-soignants dans la nuit de samedi à dimanche au centre hospitalier de Blois.
D’après ses explications, sa compagne refusait d’être examinée par un homme.
Les agents de sécurité ont dû intervenir une première fois pour le faire sortir, mais l’individu, qualifié de « trublion » par la NR, est revenu dans la nuit et il a menacé deux agents hospitaliers dont une femme aide-soignante.
Cette fois c’est la Police qui est intervenue pour interpeller l’excité.
« Compte tenu des faits et d’un casier judiciaire chargé« , le procureur de la République a requis six mois d’emprisonnement assortis d’un mandat de dépôt.
Mais l’avocat de la défense a expliqué que son client vivait « une situation très compliquée » et plaidé pour qu’il ne soit pas incarcéré.
Le prévenu, dont la NR protège l’anonymat, a été condamné à six mois de prison ferme mais le mandat de dépôt n’a pas été délivré.
L’homme est condamné à verser 850 euros aux deux agents hospitaliers. Il est permis de douter là aussi de l’exécution de cette sentence.
En résumé une peine de prison qui ne sera pas exécutée, une indemnisation moins que certaine, un agresseur dont l’identité est tenue secrète, et pas un mot sur les causes de cette agression : de toute évidence le fondamentalisme islamique. Prêché à Blois dans quelle mosquée ? Le lecteur n’en saura rien.
Surtout pas de vague. Et pas d’amalgame !
Encore une fois l’identité d’un individu jugé et condamné dans un tribunal recevant le public est cachée par la presse. Mais là, on se doute qu’il n’a pas un passeport suédois et n’est pas adepte du shintoïsme !
Il me semble qu’il se nomme » HOCINE » un nom bien de chez nous n’est-ce pas ?
et surtout à soutenir ce sont nos fonctionnaires dans les administrations etc. et dans ce cas précis le personnel soignant et si dévoué agressé une fois de plus dans le cadre de leur travail. Ce n’est plus acceptable de voir de tels scènes aux urgences dans ce pays ; on n’ a pas à décréter ou à choisir le sexe du médecin qui vient nous secourir donc nous soigner dans un tel service hospitalier. C ‘est déjà une bonne chose d’être pris en charge.