ZUP de Blois : après les policiers et les pompiers les racailles s’en prennent au personnel d’une crèche.
Après les policiers et les pompiers, c’est le tour du personnel des crèches d’être la cible des racailles (la Nouvelle République du 25/11/2017).
Cela s’est passé le lundi 20 novembre, mais il a fallu attendre quelques jours avant que la presse en parle.
Ce soir-là, 3 employées, des agents municipaux, ont été violemment prises à partie par une quinzaine d’individus en sortant des locaux de la crèche Marie Curie, place du Docteur Roux, au coeur d’un quartier entièrement rénové dans le cadre du PRU.
Les trois personnes déclarent avoir été menacées verbalement et physiquement, elles ont été contraintes de se réfugier dans l’école pour appeler les forces de l’ordre.
Conscient du fait que les sujet est « extrêmement sensible« , la maire a fermement condamné « des actes intolérables » avant de convoquer une conférence de presse sur les lieux mêmes de l’agression le 24 novembre, pour annoncer entre autres l’installation d’une nouvelle caméra de vidéosurveillance.
Mais en attendant, les agresseurs n’ont toujours pas été identifiés, et si des suspects étaient interpellés, qui peut imaginer que les victimes les reconnaissent formellement, alors qu’elles craignent des représailles ?
Par solidarité, tour le personnel de la crèche a décidé d’exercer son droit de retrait le vendredi 14 et le lundi 27 novembre, entraînant une fermeture de la crèche.
Déjà le centre d’examens de santé de CPAM et une antenne de la CARSAT situés à proximité avaient fermés leurs portes pendant deux jours à mi-novembre après une multiplication de dégradations et d’agressions verbales.
Une fois de plus nous sommes obligés de faire le constat d’échec de la politique de la ville, après les 243 millions d’euros engloutis dans le Plan de Rénovation Urbaine et les millions d’euros déversés depuis des années par la Ville, le Département, la Région, l’Etat, la CAF pour tenter, en vain, d’acheter la paix sociale.
Pendant ce temps, une partie de ces jeunes issus de l’immigration extra-européenne n’ont fait que se radicaliser et rejeter toute idée d’intégration, dans le silence complice des autorités et des médias.
Et ce n’est pas une caméra supplémentaire qui changera grand chose, tant que l’on aura pas mis un terme à cette politique d’immigration massive dont nous payons aujourd’hui les conséquences.
Pour cela, il ne fait pas compter sur les politiciens en place, gauche et droite confondues, y compris les macronistes, le seul recours demeure le Front National.
C’est bien pourquoi il est attaqué de toutes parts.
Mais devant une telle situation, ce n’est pas le moment de douter ou de regretter le résultat de la présidentielle, il faut serrer les rangs et rejoindre le seul mouvement capable de défendre la France et les Français autour de Marine Le Pen.
On ne nous dit pas tout !!!! dans cette » bonne ville » à la rose.
Ils l’ont voulu, ils l’ont, mais les victimes c’est les Français de souche