Blois orange mécanique ?
Publié en 2013 le livre de Laurent Obertone a déjà été vendu à plus de 200 000 exemplaires en dépit de l’omerta des grands médias. Il décrit une réalité, qui ne touche pas que les grandes villes.
Ce qui frappe dans la chronique judiciaire, c’est le fait que les individus confrontés à la Justice n’ont souvent plus aucun respect pour l’institution. Dans une affaire grave jugée ce mardi au Tribunal correctionnel de Blois, le procureur s’insurge : « ça rigole, ça commente, ils sont dans leur monde. Le respect chez vous, c’est une notion en dehors de votre construction » (la Nouvelle République du 24/01/2018).
Mais revenons d’abord sur les faits : un « jeune homme » de 20 ans, agacé par les arrêts répétés du bus va parler au chauffeur, et lui demande de griller le feu rouge auquel il est arrêté à un carrefour de Blois. Un homme de 91 ans, passager du bus, intervient pour le raisonner.
Il est aussitôt pris à partie et frappé par le « jeune » et un de ses amis.
Et ce n’est pas tout : lorsque tout le monde descend au même arrêt, un homme a voulu défendre la personne âgée et la situation a de nouveau dégénéré.
Alertée, la police est arrivée sur les lieux pour interpeller les deux « jeunes », qui ont poursuivi leurs « exploits » au commissariat, en s’en prenant cette fois aux policiers, en particulier à à deux agents féminines copieusement insultées. Faut-il y voir un indice supplémentaire sur le profil de ces « jeunes » ?
De surcroît on apprend à l’audience que les deux jeunes délinquants on déjà un casier judiciaire bine chargé.
Le premier est condamné à dix mois de prison ferme, l’autre à huit mois, dont quatre avec sursis et mise à l’épreuve, et ils ont été incarcérés.
Le compte-rendu d’audience ne dit pas si cette condamnation a fait tomber d’autres sursis, mais il faut espérer que ces deux individus, qui n’expriment aucun remords exécutent intégralement leur peine et prennent conscience de la gravité de leurs actes.
En attendant il faut constater, une fois de plus, que ces deux « jeunes » restent anonymes.
Si vous lisez régulièrement notre blog, vous savez sans doute pour quelle raison !
« Kevin » a encore frappé ! Je m’étonne encore et toujours que les noms de ces petites frappes soient cachés alors que les audiences correctionnelles sont publiques, d’autant que les mis en cause sont majeurs ! S’agirait-il d’auto censure de la part du journal ? A n’en pas douter comme toujours dans ces cas, ou alors il sont renommés avec un prénom francisé ou européanisé. Sait-on jamais si ils portaient plainte pour atteinte à leur vie privée (devenue publique dans ce cas) ! Mais ce n’est pas Kevin ou Maurice qui sera inscrit à l’entrée en prison, et le n° d’écrou fera bien référence à leur vrai nom.
S’agirait-il de « chances pour la France » ?
En plus des condamnations, il faut de toute urgence les toucher au porte monnaie sans oublier leurs parents qui doivent réaliser les comportements de leur progéniture même quand ils sont en âge adultes ????
c’est plus parlant pour eux une telle violence car ces délinquants et voyous doivent se mettre obligatoirement à plusieurs pour perpétuer leurs menaces et frapper n’ importe où et n’ importe qui !!!
Les policiers ont beaucoup de mérite et soyons reconnaissants pour ce travail ardu sur le terrain chaque jour et chaque nuit …..
Devinez !!!