Hébergement, soins, formation, emploi : priorité aux clandestins ?
Auchan recrute. N’hésitez pas à proposer votre candidature.
« Samioula, Jahangir, Mohamed, Doghei, sont Soudanais, Afghans, Syriens. Ils sont jeunes, certains sont mariés et ont laissé femmes et enfants très loin d’ici ; ils possédaient un travail et une formation dans leur pays d’origine, qu’ils ont quitté, certains depuis 2003. Ils ont tous un point commun : ils sont arrivés en France il y a un ou deux ans, comme migrants, certains à la fin du mois d’octobre 2015. Ils sont passés par le CADA (Centre d’accueil des Demandeurs d’asile) [de la Région) ».
C’est que révèle le magazine Internet Mag’Centre.
Traduction : ils sont entrés en France clandestinement, après avoir franchi les portes d’une Europe-passoire et au lieu d’être reconduits à la frontière, ce que nous interdit Schengen, ils sont pris en charge intégralement à vos frais : logement, nourriture, soins, formation et promesse d’embauche. Avec bien sûr un petit pécule à la clé.
Dans le cadre du programme « HOPE » (Hébergement, orientation, parcours vers l’emploi), avec le soutien des organismes paritaires collecteurs agréés, de Pôle Emploi, de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii),de l’Afpa et d’associations diverses (*), 11 d’entre eux vont suivre une formation en alternance au sein d’un hypermarché Auchan ou supermarché Simply dans le Loiret, au total ils sont 37 concernés en Région Centre-Val de Loire.
Si vous cherchez du travail dans le Loiret, nous vous conseillons de vous adresser au groupe Auchan. Vous pourrez vérifier s’ils ont des besoins de recrutement et dans l’affirmative vous devriez tout de même avoir l’avantage de bien parler le Français, ce qui est un point important de l’aveu même de la DRH.
Et si on ne donne pas suite à votre candidature, cela voudrait dire que le groupe Auchan fait le choix d’offrir des emplois prioritairement à des personnes entrées clandestinement en France.
Il appartiendra à chacun d’en tirer les conclusions.
L’article se conclut sur la crainte d’un durcissement des conditions d’accueil des migrants. Plaisanterie ! Les déclarations du ministre de l’Intérieur sont destinées à rassurer les Français, afin de permettre au contraire l’arrivée de davantage de « migrants », mais avec l’accord du gouvernement.
(*) plusieurs associations prospèrent sur le « business » des « migrants », comme Coalia à Salbris, ou encore Emmaüs à Herbilly, près de Mer, qui est rétribuée à hauteur de 260 € par mois et par migrant pour gérer leur accueil.
La politique d’immigration massive est la principale responsable de la crise du logement, du chômage, de l’insécurité et des déficits budgétaires et sociaux. Pourquoi cacher la vérité aux Français ?
C’est écoeurant. Pourquoi ces contrats en alternance ne sont pas proposés à des jeunes français ? ça ressemble bien à une discrimination à l’embauche… mais comme ils disent, c’est une « discrimination positive », donc négative pour nous.
Ecoeurant le mot est faible dans ce cas ou il serait plus que normal et nécessaire de proposer de tels emplois à nos enfants qui sont laissés d’ une certaine façon sur le carreau …… De plus en plus difficile d’accepter ce genre de discrimination à notre encontre et qui nous guette quoique l’on en dise !
En plus le syndicat d’enseignants FSU regrette dans un communiqué publié hier dans la NR au sujet de l’apprentissage que « l’apprenti est très majoritairement un garçon, blanc, issu des classes moyennes ».
C’ est du racisme anti-blanc !
Mais puisqu’on vous dit et répète que le racisme ne fonctionne qu’à sens unique !
(Ce « on » est un de nos adversaires politique (très à gauche) qui réfute la notion de race pour le genre humain, donc si je parle encore un français plus ou moins correct : pas de races = pas de racisme (c’est logique, non ?) ; le premier qui accuse d’autres qui ne sont pas de son bord d’avoir des propos racistes est ignorant de la langue française et parle pour ne rien dire puisque le racisme envers certains individus du genre humain ne peut exister).
(petite leçon de français à l’encontre de beaucoup qui ne savent pas ce qu’ils répètent comme des perroquets Un mot ne peut exister que si sa racine existe).