Macron en Inde : hypermenteur tu perds ton sang froid !
Une fois encore, Macron est pris en flagrant délit de mensonge.
Durant la campagne des présidentielles de 2002, Chirac avait été surnommé « supermenteur » par les Guignols de l’info et l’expression avait fait florès, puisqu’on ne disait pas encore le « buzz ».
Avant toutefois que « supermenteur » ne soit soutenu au second tour contre Jean-Marie le Pen par tous ceux qui l’avait dénigré. Comme quoi les « guignols » n’étaient pas que les comiques de Canal+.
Aujourd’hui s’il fallait qualifier M. Macron, le terme qui s’impose ce serait « hypermenteur », tant ce petit personnage arrogant accumule les mensonges les plus énormes (*).
Déjà lors du fameux débat, où il avait menti de bout en bout, il aurait dû être disqualifié si jamais il y avait eu un arbitre et non des journalistes complices.
Il n’a pas cessé depuis, tout en reniant ses promesses.
Le dernier exemple en date c’est à l’occasion de son voyage en Inde, où il a fanfaronné, comme d’habitude, en annonçant 13 milliards d’euros de contrats… dont 12 milliards avec Safran, confondant euros et dollars, et oubliant qu’il s’agit d’un consortium et que 50% du montant des contrats annoncés revenaient à l’américain Général Electric.
Le mensonge est tellement gros qu’il est dénoncé par la très politiquement correcte revue Challenges (12/03/2018).
Par contre l’apprenti-président a perdu son sang-froid lors d’un conférence de presse où une journaliste a oser lui poser une question au sujet de sa visite au Taj Mahal, dont le caractère « privé » constitue lui aussi un énorme mensonge au vu de la couverture médiatique bienveillante dont il a bénéficié. Au fait, s’il s’agit d’une visite privée, qui la paye ? Privatisation du Taj Mahal, déplacement des officiels et des journalistes, sécurité ? Il y a peu de chance qu’il s’agisse d’un cadeau offert par Brigitte à son ancien élève.
Hypermenteur tu perds ton sang-froid !
Mais tant qu’il exécute à la lettre la feuille de route de ses commanditaires, il sait qu’il peut tout se permettre. On le voit avec le financement de sa campagne, sur lequel même un site aussi proche du système que Médiapart pose des questions restées sans réponses, et qui surtout ne sont pas relayées par les « grands » médias.
Mais ces petites piqûres de rappel sont peut-être destinées à lui faire comprendre qu’il ne peut pas s’écarter des engagements qu’il a pris auprès de ceux qui l’ont financé, sans quoi l’affaire des Macronleaks, pour reprendre l’expression de Médiapart pourrait éclater au grand jour.
(*) Un exemple parmi d’autres des mensonges de Macron lors du fameux débat :
Baisser ou supprimer les APL, oui, mais tout en offrant le logis et le couvert (via une carte bancaire) aux immigrés clandestins ! En voilà une belle économie de 150 M !