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Terrorisme : Marc Gricourt conseille… de ne rien faire !

(photo d’archives)
Pour Marc Gricourt, le mort du Lieutenant-Colonel Beltrame fait partie des « risques du métier ».
C’est sur page Facebook que Marc Gricourt publie un petit billet pour mettre en garde nos concitoyens.
Pas contre la menace terroriste d’un islam radical, non, mais pour s’opposer à  « revendiquer plus d’armement, armement létal, notamment pour les vigiles, policiers municipaux, ou autres…« 
Comme si c’était l’armement des forces de l’ordre qui menaçait la population !
Il reconnaît que « sur l’instant, à chaud, nous avons tous une réaction de colère, de révolte, de haine parfois, de volonté de vengeance. »
Il ajoute, citant son père militaire de carrière engagé pendant la seconde guerre mondiale: « pour nous c’est aussi le risque du métier et nous le savons dès notre engagement« . Faut-il comprendre que la mort du Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame, abattu et égorgé par un musulman fanatique fait tout simplement partie des « risques du métier » et qu’elle est somme toute normale ?
Ce que l’on ressent surtout derrière cette mis en garde, c’est la crainte que les Français finissent enfin par ouvrir les yeux.
C’est ce que redoutent aussi le gouvernement et le Chef de l’Etat, comme les médias-macron qui ont sciemment caché les causes exactes de la mort du Lieutenant-Colonel Berltrame, qui ont tardé à donner des précisions sur les circonstances de sa naturalisation, qui ont mis trois jour avant de révéler que sa compagne était elle aussi fichée « S », qui demeurent très discrets sur les réactions des « jeunes » du quartier où habitait l’assassin, etc…
Mais où Marc Gricourt se trompe, c’est qu’il ne s’agit pas simplement d’une question de moyens supplémentaires.
Ce que demande le Front National c’est un changement de politique dans la lutte contre le terrorisme.
C’est de faire expulser les étrangers fichés « S » qui sont sur notre sol, ce qui faciliterait le travail des services chargés de les surveiller et, au passage, aurait déjà permis d’éviter des attentats.
C’est de refuser le retour en France des terroristes de Daech qui ont parfois combattu, souvent massacré et torturé en Syrie et en Irak. Ils doivent d’abord être jugés dans les pays où ils ont des comptes à rendre à leurs victimes.
C’est de restaurer le droit d’asile, aujourd’hui dévoyé, dans sa véritable fonction : protéger, dans des cas avérés, des personnes persécutées dans leur propre pays, mais en aucun cas des combattants qui s’enfuient ou des des réfugiés économiques.
C’est de retrouver la maîtrise de nos frontières nationales en dénonçant les accords de Schengen, ce que la situation actuelle justifie parfaitement.
C’est de combattre enfin les réseaux extrémistes qui prospèrent dans notre pays au sein de mosquées tenus par des radicaux pourtant identifiés, et pour cela entre autres interdire le financement des mosquées par des pays ou des organismes étrangers. Il y a des exemples à Blois et en Loir et Cher.
Voilà quelques mesures, qui ne sont en rien attentatoires aux libertés, mais qui permettraient de remporter cette guerre qui nous est déclarée par un ennemi que nos gouvernants n’osent pas nommer.

Mots-clefs :Blois, featured, islamisation, Loir et Cher, Marc Gricourt, terrorisme

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