Faux réfugié, vrai truand.
En Europe, il suffit de rentrer par effraction pour obtenir des droits.
Sokol est un Albanais de 34 ans. Avec ses deux frères ils ont demandé le statut de « réfugié politique ».
Etrange pour des ressortissants d’un pays de l’OTAN et dont la candidature à l’Union européenne remonte à 2009.
Et bien sûr, en attendant que ce statut leur soit accordé ou refusé – ce qui ne les empêchera de rester chez nous – les trois individus sont logés, touchent une allocations de l’OFPRA (360 euros par mois), bénéficient de l’AME (assistance médicale gratuite qui les couvre à 100%) etc…
Mais cela ne leur suffit pas, ils complètent ces allocations par du travail au noir et d’autres activités lucrative comme le trafic de bijoux et d’objets volés.
Déjà jugé deux fois pour des faits de même nature, Sokol est à nouveau condamné par le tribunal de Metz en octobre 2017. Cette fois, il écope de six mois de prison.
Cependant il fait appel, ce qui démontre qu’il peut se payer un avocat, ou bien qu’il y a quelqu’un pour payer…
Sa défense ne parvient pas à convaincre le tribunal, qui prononce le maintien en détention.
Mais la vraie question n’est pas là.
Comment un tel individu, délinquant multirécidiviste, peut-il toujours bénéficier du statut de demandeur d’asile et vivre à nos dépends.
Il y a longtemps que le Front National se bat que ces faux demandeurs d’asile, à fortiori délinquants, soient expulsés.
Mais Sarközy avait aboli la « double-peine » pour les étrangers, et ni Hollande ni Macron ne sont revenus sur cette question, totalement absente du projet de loi qui fait tant hurler l’extrême-gauche.
Ce doit ètre une espèce protégée
En France, on introduit des ourses ainsi que des truands étrangers (comme si on n’avait pas assez de cette espèce chez nous !). Pour ce qui est des ours, certains les pourchasseront ; pour la deuxième espèce, personne ne s’en préoccupera.
C’est la diversité !
Douce France
Cher pays de mon enfance
A Blois cela se passe comment ?