Vendôme : le « jeune » Malik menace un policier d’égorgement.
La Nouvelle République parle d’interpellation « houleuse ».
Le jeune Malik, présenté comme un « grand frère » dans le quartier des Rottes, ce qui en dit long, aurait « pété les plombs » en voyant son cousin interpellé par la Police, pour une affaire de stupéfiants.
Devenu très agressif, il s’en est pris aux forces de l’ordre, tandis que se formait un attroupement d’une dizaine de « personnes hostiles ». Sans d’autres « frères » et des « cousins » ?
Malik en est même venu aux mains, saisissant l’un des agents par le col tout en le menaçant de mort en mimant un geste d’égorgement.
Il a fallu des renforts (au total 14 policiers) pour le maîtriser et le conduite à la Maison d’arrêt où il a passé le week-end en attendant sa comparution immédiate ce lundi.
On peut se féliciter que la Justice ait pu se saisir de l’affaire aussi rapidement, mais le jugement laisse quelque peu dubitatif.
Le Vice-procureur a pourtant insisté sur l’extrême violence de cet individu et réclamé 6 mois fermes, mais le tribunal a semble-t-il entendu les arguments de la défense, plaidant que le prévenu s’est « laissé dépasser par les évènements [...] et il regrette amèrement« .
Sans doute regrette-t-il surtout de s’être retrouvé en prison.
Mais il ne va pas y retourner, car il est finalement condamné à 4 mois dont 3 avec sursis.
Voilà ce qu’on encourt pour avoir menacé un policier d’égorgement, deux semaines après l’assassinat par égorgement du colonel Beltrame.
Cette affaire est traitée dans la rubrique des « faits divers » par la Nouvelle République. Mais lorsque nous traitons ici de certains « faits divers », c’est parce qu’il bien en réalité de faits de société.
A ce titre cette affaire est exemplaire : nous sommes dans un quartier prioritaire de la « politique de la ville », c’est à dire un quartier à forte population issue de l’immigration, où l’on constate chez les jeunes, y compris nés en France, un repli identitaire et religieux et un refus grandissant d’assimilation.
Le tout sur fond de trafic de drogue, insuffisamment combattu car l’économie « souterraine » constitue aux yeux des autorités un « soupape de sûreté ». De fait nos gouvernants redoutent de s’y attaquer plus sérieusement de crainte de provoquer une explosion dans les « quartiers ».
Le titre de « grand frère » mis en avant par la NR est d’ailleurs la preuve que des autorités de substitution se mettent en place pour contrôler sans quartiers, jouant parfois le rôle d’intermédiaire avec les autorités de la République.
Les imams font partie également de ces « autorités parallèles » qui petit tissent leur toile afin d’accroître leur influence, avec l’aval de certains élus.
C’est cette situation que nous ne pouvons plus tolérer.
La France est donc pourrie à tout les niveaux !
Atroce pour ce policier.
Ils ont de plus en plus de mérite à être sur le terrain.
La NR qui s’évertue d’employer le terme grands frères … c’est pas possible dans cette république de lire et d’entendre encore ces mots là !