Le colonel Beltrame a bien été égorgé.
Un « rebelle » syrien soutenu par Macron. Ce sont les amis du tueur qui a égorgé le colonel Beltrame.
Le déroulé des faits entourant la prise d’otages de Trèves et la fin dramatique du Colonel Beltrame.
Il est bel et bien confirmé que « selon les résultats de l’autopsie, le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame est décédé d’un coup de poignard à la trachée. Ses blessures par balles, au pied et au bras, n’étaient, elles, pas mortelles. »
« Coup de poignard à la gorge » : une façon pudique de ne pas dire égorgement, ce que des proches avaient révélé dans les heures suivant son lâche assassinat.
Mais cette information a été soigneusement occultée dans les déclarations officielles comme dans les médias.
Comme si la consigne était de cacher la vérité aux Français, pour éviter bien sût tout « amalgame ».
Pire, le gouvernement n’en tire aucune conclusion, en particulier il n’a pas reconsidéré sa politique de soutien aux groupes djihadistes en Syrie, que nous armons et que nos forces spéciales encadrent sur le terrain..
Au contraire les frappes contre la Syrie, basées sur des accusations sans preuves (*), visant un site dont l’OIAC venait de certifier dans un rapport rendu le 23 mars qu’il n’y avait aucune trace d’armes chimiques, pour un résultat dérisoire sont bien destinées à prolonger cette guerre.
Or il faut bien comprendre que frapper la Syrie revient à aider les diverses composantes de la nébuleuse terroriste islamiste, qu’il s’agisse de Daech, d’Al Qaïda, Al Nosra et leur filiales.
C’est bien pourquoi ces frappes illégales sont non seulement stupides mais contre productives, militairement et diplomatiquement.
(*) le document publié sur le site du ministère des Armées est tout simplement ridicule.
Mensonges mensonges!