Rébellion et insultes : scène ordinaire à la ZUP de Blois.
Le tribunal correctionnel de Blois voir continuellement défiler ce genre de délinquant, et le scénario ne change guère.
Des petits trafiquants ou des individus en infraction qui tentent de s’enfuir lors d’un contrôle ou d’une interpellation, qui se rebellent, insultent et parfois frappent les policiers.
C’est le cas d’un certain Mohamed (le prénom n’a pas été changé !) dont l’interpellation jeudi dernier à la ZUP de Blois a été pour le moins « sportive » (la Nouvelle République du 2 mai 2018).
Les policiers ont été copieusement insultés et menacés, particulièrement deux femmes policières.
Jugé en comparution immédiate, le prévenu jure évidemment qu’il n’a rien fait !
Agé de 19 ans il a déjà été condamné deux fois alors qu’il était encore mineur.
Le Substitut demande 6 mois fermes sans mandat de dépôt, ce qui est forme de sursis déguisé, mais comme les prisons sont pleines, la majorité des peines de moins d’un an ne sont pas effectuées.
Finalement il écopera d’une simple contrainte pénale de 24 mois « avec obligation de travailler ».
Un conseiller d’insertion et de probation devra suivre le jeune Mohamed, mais chacun sait que la Justice manque de moyens. L’efficacité du dispositif laisse d’ailleurs sceptique beaucoup de magistrats, qui utilisent assez rarement cette mesure, en tout cas très en deçà des objectifs fixés au départ par le Ministère.
Quant aux policiers, ils auront le plaisir de croiser sur leur chemin celui qui les a insultés et menacés.
Le Front National demande davantage de fermeté lorsque les forces de l’ordre sont victimes d’agressions.
Que voulez vous, il faut bien qu’ils jouent ces jeunes!
Dirait Taubiracaille
Une fois de plus avec ce gendre de voyous sur la voie publique, le statut de la femme est mis à rude épreuve. Impardonnable encore puisqu’il s’agit de fonctionnaires femmes de police qui ont beaucoup de courage et que l’on peut considérer tout simplement et soutenir.