Châteauvieux : le Préfet rend hommage aux résistants du temps présent.
Pierre de Saint Céran lors d’un hommage à Jeanne d’Arc avec le Front National à Blois. Une vie de résistance au service de la France.
A l’occasion de la commémoration annuelle de l’arrestation de six résistants de la commune, dont cinq sont décédés dans les camps et le dernier deux mois après son retour, le Préfet de Loir et Cher a rendu hommage à « ces hommes qui on fait le sacrifice de leur vie pour la patrie » (la Nouvelle République du 5 mai 2018).
Comme leurs aînés de 1914-18, ces résistants de la dernière guerre mondiale sont morts pour la France et reposent au carré militaire du cimetière de Châteauvieux.
Il est bon que le souvenir de leur héroïsme soit transmis aux jeunes générations à qui l’on enseigne le mépris de la Nation, au profit d’une illusoire citoyenneté européenne voire mondiale, assortis d’une repentance prélude à la soumission.
Aujourd’hui ceux qui résistent, ceux qui défendent leur pays menacé par la submersion migratoire, qui se battent pour conserver son indépendance et sa souveraineté sont au contraire montrés du doigt, dénigrés par les médias, qualifiés de dangereux nationalistes.
Ils sont parfois menacés physiquement, certains risquent leur emploi, leurs réunions et leurs locaux sont régulièrement attaqués par des milices d’extrême-gauche qui ne sont jamais inquiétées.
C’est pourquoi nous ne pouvons qu’approuver le Préfet de Loir et Cher quand il déclare : « soyons vigilants, restons aux aguets alors que la flambée des extrémismes se fait plus présent dans nos société occidentales« , terminant par une citation de Lucie Aubrac : « Résister se conjugue au présent. »
Prononcés au lendemain des violences provoquées à Paris par les extrémistes du « Black Block », ces propos prennent une signification particulière.
Le Front National est fier d’incarner cette résistance du présent évoquée au cours de cet hommage.
En Loir et Cher plusieurs résistants historiques ont combattu dans nos rangs pendant des années, et c’est le Blésois Raymond Casas qui avait reçu en novembre 1944 le jeune Jean-Marie Le Pen, alors âgé de 16 ans, venu s’engager dans la résistance (ce qui pas pu se faire en raison de son âge).
Oui, les cadres et les militants du Front National sont bien de la lignée de ces français qui se sont levés, au cours des siècles, pour défendre leur Patrie chaque fois qu’elle était menacée, et elle l’est plus que jamais avec la trahison de nos dirigeants et de nos élites.
Merci au Préfet de Loir et Cher pour ce rappel utile.